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It's the end when I begin
Dans cet établissement pas de discrimination, tout le monde demeure sur un pied d’égalité : vampires, humains, loup-garous, succubes et autres créatures. Pour ce faire il est naturellement obligatoire de conserver une forme humaine. Marre du monde des humains où vous vous sentez à l’étroit, mal à l’aise ? Il vous manque simplement la liberté. Le pensionnat est là pour vous. Nous saurons vous trouver où que vous soyez et qui que vous soyez.Cependant derrière tout ces aspects d’égalité et de liberté les plans se trament et la tentation de hausser sa race en influence au sein de l’établissement apparaît. Les tensions montent secrètement et lentement entre les différents individus et l’odeur âpre de la confrontation entre celles-ci commence à ce faire sentir. Sous des airs angéliques vos voisins de table peuvent très bien vous haïr. Tout n’est que voile et mensonge. Maintenant à vous de faire votre entrée, qui que vous soyez, quoi que vous soyez. Continuerez vous le jeu malsain qui se joue dans l’établissement ou vous dresserez vous contre celui-ci en faisant éclater la vérité au grand jour ? Saurez vous passer « de l’autre coté » ?
DA NEWS & CIE
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Désirée ▬ man, i feel like a woman.

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MessageSujet: Désirée ▬ man, i feel like a woman. Désirée ▬ man, i feel like a woman. Icon_minitimeDim 3 Juil - 17:56



“ Ses cheveux étaient blonds. „

Son regard était clair. Et elle marchait dans les airs.

Désirée ▬ man, i feel like a woman. Dpq5W
NOM - Mortreux.
PRÉNOMS - Désirée, Edith.
ÂGE RÉEL / D'APPARENCE - Elle a 73 ans mais a un corps d'à peu près 17 ans.
DATE & LIEU DE NAISSANCE - Paris, 1952.
RACE - Goule.
MAISON(S) DÉSIRÉE(S) - Lust.
NIVEAU - Trois.


“ Elle a mangé mon dessert. „
J'ai dû sourire et me taire.


Désirée, elle a l'air de rien, comme ça.

C'est vrai, Désirée, quand on la voit, on imagine pas, on devine pas tout de suite comment elle est - de toute façon, qu'est-ce que tu veux imaginer, quand tu vois ses longs cheveux blonds platine, ses yeux bleus, le petit nœud dans ses cheveux, ses robes toujours chics, ses talons un peu trop hauts, sa jolie poitrine - tu sais, celle que ton copain, ton mari, ton fiancé, le type sur lequel t'as craqué, celle que ton amour de toujours a tellement caressé ? Celle qu'elle a laissée se faire désirer tandis qu'elle le branchait, tandis qu'elle déchirait lentement son amour pour toi, tandis qu'au fur et à mesure de sa longue danse sulfureuse il ne désirait plus qu'elle, Désirée. Ses seins ni trop gros ni trop petits, ses fesses fermes, son ventre tendrement plat, ses jambes soigneusement épilées, fines, pâles, qui ne demandent qu'un peu d'attention, que quelques regards, un petit coup de langue peut-être, puis pourquoi pas un petit baiser, ou deux, ou trois, puis pourquoi pas le plaisir de se laisser écarter ?

Désirée, elle a l'air d'une pute, comme ça.
Elle a l'air d'une belle pute quand on la connait pas. On dirait qu'elle attend que ça. Qu'on vienne, qu'on la saisisse, qu'on l'allonge, qu'on se la fasse. Et son air hautain, ses cigarettes par-ci par-là, sa façon de ne parler que pour casser l'ambiancer, vanner, briser des gens, tout cela n'arrange rien, vraiment rien. Désirée, si son nom vient à ramper jusqu'à vos oreilles, vos lèvres, vos rumeurs, vous croirez tout au pire que c'est une fille chic, un peu bourge, un peu intello ; vous n'en retiendrez pas forcément l'essentiel. Vous n'en retiendrez pas forcément que Désirée est une salope. Une pétasse. Une petite pute. Que Désirée vous arrache de votre copain, votre amour de toujours. Que Désirée le prend, le drague, joue les amoureuses, les admiratrices secrètes, les cœurs tendres, sourit, baisse les yeux en rougissant, et va loin dans son jeu, va jusqu'à la baise même s'il le faut ; et quand enfin elle arrive à ce qu'il vous oublie, à ce qu'il ne se consacre plus qu'à elle, elle le jette, le laisse tomber, le regarde se maudire de ses choix, regretter, pleurer. Et ce jeu, ce jeu qui lui vaudrait une si mauvaise réputation, ce jeu de briseuse de couples, c'est un jeu qu'elle a en commun avec Kaito - Connor, comme elle l'appelle. Connor qu'elle toise d'un air blasé, avec calme, malice, parfois même avec un léger sourire. Connor qui lui montre ses concubines avec un sourire, Connor à qui elle montre ses conquêtes du bout de l'index, Connor le séducteur, Connor qui ne se permettra jamais de lui faire quoique ce soit, Connor sans qui, au fond, elle n'aurait jamais autant été attirée par l'art de déchirer un couple, parce que Connor est joueur, Connor l'amuse.

Mais il serait naïf de croire que le seul intérêt de Désirée dans sa vie - enfin, dans sa mort - est de draguer, de coucher. C'est vrai, Désirée, quand on la connait un peu, on repense jamais qu'à ses « exploits », à tout ce qu'elle a fait pour séparer Machin et Machine ; mais les motifs de ses actes, les raisons pour lesquelles elle fait tout ça, quelles sont-elles ? Qu'on oublie de suite l'idée qu'elle le fasse car elle a un jour été blessée par un homme et qu'elle veuille depuis infliger ça à toutes ses congénères du sexe faible, qu'on congédie la pensée qu'elle soit nymphomane, qu'elle ait quelque chose à compenser, qu'elle fasse ça pour attirer l'attention.
Du plus étrange que cela puisse paraître, Désirée n'a aucun intérêt pour le sexe, ou l'amour. Au contraire même, ça la blase. Ça l'ennuie. Elle prend pas souvent son pied. Elle fait semblant ; toujours. Pour tout. De toute façon, dans un pensionnat où les élèves sont répartis par péchés capitaux, cela ne choque pas. Tout comme cela ne choquerait probablement personne de savoir qu'elle n'aspire qu'à une chose ; vous vider de vos larmes, vous faire pleurer comme des gosses, vous plonger dans la tristesse, la haine, la rage, la douleur la plus profonde. Et pour vous faire mal, pour vous voir blessé, trahi, déchiré, elle sera prête à tout.

Elle ne vous hait pas, non.
Mais vous êtes des insectes.
Voyez-la plutôt comme une enfant qui s'amuse à piétiner des fourmis ?

Assise quelque part sur un banc, dans un des jardins suspendus, elle attend. Ses mains sont posées patiemment sur ses cuisses. Ses cheveux sont relevés en un chignon un peu brouillon, effet voulu. Pas de robe aujourd'hui, elle porte une longue jupe à volants et un haut plutôt simple. Son regard balaie les fleurs, elle a un petit sourire qui laisse deviner que ce soir, elle va bien s'amuser. Le soleil se couche doucement, la lumière joue avec son visage.
Une scène qui empeste le déjà vu.

Paris, août 1969. Jardin des Tuileries. Désirée attend. Il arrive au loin. Sa proie ? Un jeune homme tout à fait respectable, beau, intelligent - tout pour être heureux. Les plus délicieux à briser. Les plus durs, également. Elle ne compte plus les jours qu'elle a passé à faire semblant de s'amouracher de lui, à le coller, à lui sourire. Ce soir, elle va le casser. Le briser. Le déchirer.
Ce soir enfin, il va mourir.

▬ Désolé, je ne t'ai pas fait attendre trop longtemps ?
▬ Non.
Il a amené des fleurs. Désirée les prend délicatement et fait mine de les sentir. Des roses rouges. Ces fleurs la débectent, elle ne peut pas les voir en peinture. Mais elle hoche la tête doucement, sourit, et dit qu'elles sont très belles. Au fond, ses mensonges, son hypocrisie, tout ça - ce n'est plus tellement son œuvre, c'est sa maman, sa gentille maman aux cheveux de miel qui lui a appris toutes ces choses horribles. « Souris Désirée, le monde est tellement plus doux quand on a l'air heureux. ». « Parle toujours poliment et sur un ton débordant de gentillesse Désirée, peu importe ce que tu dis, tu ne dois pas t'abaisser à montrer tes émotions, jamais. ». Au fond, c'est Maman qui l'a créé, le monstre. C'est Maman qui a fait que Désirée devienne impersonnelle, qu'elle ait des problèmes de relationnels. Finalement c'est à cause de Maman qui l'a enfermée dans une boucle de politesse et de manières incessante que Désirée hait, que Désirée veut détruire. Car comme pour beaucoup de haines au monde, celle de la demoiselle ne vient que d'un petit caprice, une toute petite idée, une toute petite chose.
« Pourquoi je suis la seule à faire des efforts pour être polie et gentille avec tout le monde ? »
Cette pauvre question, interrogation, réclamation, ce petit pourquoi - une simple petite phrase comme ça avait fini par se transformer en « ils pensent que je ne le mérite pas », puis en « ils veulent m'écraser, me faire comprendre que je suis en-dessous d'eux », puis en « quelle bande d'insectes prétentieux ».

▬ Et sinon, ma Désirée, pourquoi ce rendez-vous précipité ?
▬ J'ai beaucoup à vous dire, Edgar.
▬ Tu continues de me vouvoyer ? Après tout ce que l'on a traversé ensemble ?
▬ Oui.
Alors elle vouvoyait, elle respectait tous les codes de la politesse, elle avait des manières, elle se comportait comme une femme, une vraie, une Dame, une lady. Elle vouvoyait tous ces insectes minables, par défi tout comme pour leur imposer une certaine distance ; l'avantage du vouvoiement, c'est qu'il éloigne l'interlocuteur, qu'il repousse ceux qui veulent se rapprocher, qu'il n'incite que très peu à la convivialité vulgaire et aux contacts physiques les plus simples qu'il soit.
Désirée scruta Edgar, qui s'était assis à côté d'elle. Elle aura passé deux mois à l'accrocher à son cœur pour mieux le détruire, celui-là. Une once d'inquiétude pointait dans le regard du jeune homme. Il faut dire que Désirée affichait ce sourire doux mais emprunt de sévèreté qu'elle avait lors de ses mauvais jours, un sourire qui cachait probablement de sombres pensées mais trop tendre pour qu'il en vienne jusqu'à oser demander. Il passa doucement son bras autour de ses épaules, et remarqua avec amusement ce regard bleu glace qu'il aimait tant s'écarquiller et se poser d'un coup sur sa main. Pour une jeune humaine, elle était décidément pleine de mystères.

▬ Et pourquoi me vouvoies-tu donc ?
▬ Enlevez votre bras.
▬ Je suis sûr que tu aimes qu'il soit là, mon amour.
▬ Non. Tout comme je n'ai jamais aimé votre faciès, votre manteau de prolétaire, votre voix, votre haleine, votre regard mou, votre port de tête, ce que vous m'avez offert, les nuits passées avec vous dans votre taudis, les roses rouges, les repas que vous m'avez faits, vos chaussures, vos mains, je n'aime pas que votre bras soit ainsi.
▬ ...
▬ Je ne vous ai jamais aimé, non plus.
La main d'Edgar s'accrochait maintenant à l'épaule de la jeune fille, tandis que son corps tremblait tout entier. Il ouvrait la bouche sans arriver à articuler quoique ce soit. Elle le regardait dans les yeux maintenant. Elle arborait un sourire plein de joie. Lui, tout ce qu'il arrivait à dire dans sa tête, c'était « petite pute ». Il n'arrivait qu'à se maudire de s'être épris d'une humaine ainsi. Il n'arrivait qu'à se maudire d'en arriver à se maudire d'une telle chose - car plus ça l'énervait, plus il se rendait compte que ses sentiments pour elle était forts.

▬ Si je vous ai « gardé » aussi longtemps, c'est uniquement parce que votre crédulité vous rendait beaucoup plus drôle que les autres.
Drôle. drôle. drôle. Dans sa bouche, ça sonne tellement insultant. Dans sa bouche, ça le rend tellement fou. Edgar commençait à ne plus pouvoir se contrôler. Il n'avait qu'une envie, c'était planter ses canines dans le cou de la blonde pour la faire taire. Elle posa ses roses rouges sur les cuisses du vampire, retira sèchement son bras de ses épaules et se leva. Le vent agitait doucement sa jupe et ses cheveux.

▬ En parlant des autres, je dois maintenant vous laisser. J'ai d'autres choses à faire. D'autres imbéciles à détruire.
Alors qu'elle était sur le point de se retirer après un poli, distingué et plein d'ironie « Au plaisir », Edgar lui bondit dessus. Il lui attrapa le poignet, plaça son autre main dans son dos et, ignorant le petit cri de surprise qu'elle avait poussé, se fit un chemin parmi ses longs cheveux clairs voletant pour planter ses crocs dans la peau tendre de son cou. Il aurait pu s'arrêter, faire d'elle sa comparse vampire, la contraindre au même sort que lui, mais sa rage, son envie de la tuer, sa honte, sa haine, tous ces sentiments étaient bien trop forts pour qu'il leur résistent.
C'est ainsi que Désirée mourut.

Il emmena son cadavre avec lui et le contempla, longtemps. Les jours passaient, lentement, un à un, et il observait sa Désirée pourrir. Il lui restait encore deux jours pour lui donner son sang et la faire revivre. Il hésitait. Ce ne fut que quand les deux jours restants se transformèrent deux heures qu'il finit par céder. Après tout, il l'aimait.
Désirée ouvrit grand les yeux, essoufflée. Il lui expliqua froidement la situation, son état, ce qu'il allait se passer, ce qu'elle devait manger maintenant. Elle lui mit la claque de sa vie, le traita de tous les noms et partit de la maison, furieuse, sans vouloir entendre quoique ce soit de plus, ignorant avec orgueil que sans lui elle ne serait plus qu'un cadavre.

Il continua de l'aimer en silence, le cœur brisé.

Les années passaient. Désirée observait avec délice son corps ne pas changer d'un poil, déménageant de temps en temps pour éviter que des humains trop curieux ne s'en rendent compte - ou qu'ils se rendent compte que leurs morgues, scènes de crime, cimetières et autres se vidaient étrangement. Que voulez-vous, il faut bien se nourrir dans la vie. Enfin, dans la mort.
Bref, un jour qu'elle achetait du maquillage, elle fit face à une goule beaucoup plus expérimentée qu'elle - en d'autres termes, une vieille peau, quoi - qui reconnut sa congénère en deux temps trois mouvements, probablement en s'aidant de critères que nous humains ne comprendrions pas. Une fois sortie du magasin, tenant du bout des doigts un petit sac rempli de divers artifices cosmétiques, Désirée entendit ainsi cette goule plus âgée l'interpeller. Elle se retourna lentement, la toisant avec dédain tandis que celle-ci lui expliquait en panique qu'elle était encore jeune, qu'elle avait des choses à savoir sur les humains, sur sa façon de se comporter, qu'un endroit pouvait l'aider, tout ça. Elle lui cracha à la figure que cela ne l'intéressait pas et rentra chez elle.
Le lendemain, prise d'une colère terrible pour des raisons diverses, elle avait déchiré à coup de dents sa robe préférée.
Le surlendemain, elle prit l'avion pour le Japon afin d'arriver à The Other Side, l'endroit dont avait parlé la vieille goule.

Bon, elle avait certes besoin de perfectionner son japonais, mais elle avait confiance en elle sur ce point-là ; après tout, une entité supérieure comme elle devrait y arriver vite, non ?

Ce pensionnat fut d'ailleurs le berceau d'une rencontre plutôt redoutable et dangereuse pour l'environnement ; en effet, ce fut ici que Désirée Edith Mortreux fit la connaissance de Kaito Connor Ryûzoji. Qu'une femme à hommes fit la connaissance d'un homme à femmes. Alors forcément, monsieur essaya de draguer madame et vice-versa ; et très vite, l'un comme l'autre se rendit compte qu'ils jouaient le même jeu, sans avoir forcément les mêmes desseins. C'est ainsi qu'ils s'allièrent dans le vice et la luxure, pour le bonheur de détruire les couples par le simple pouvoir de leurs deux belles gueules d'anges.
Peu de gens sont au courant de leur alliance et beaucoup pensent que les deux n'ont aucun rapport - ce qui est probablement dû au contraste entre leurs deux personnalités.
Malheureusement pour vous, âmes en fleurs et jolis cœurs, c'est un atout qui fait leur force et votre faiblesse...


“ Désirée l'indésirable „
Bonne à baiser et danser sur les tables.


Désirée suit les cours de japonais parce que ses lacunes sont désastreuses. (et je vous parle pas de son accent, haha)
Si vous l'entendez prononcer « D'accord, mais vous rangerez mes chaussures. » ou « Jouons à action ou vérité. », COUREZ. VOUS. NE VOULEZ PAS. AVOIR. AFFAIRE. À SES MILLIERS DE CHAUSSURES.
Ah, tiens, justement. Désirée vous vouvoie, qui que vous soyez. Il n'y a que Kaito qui ait le droit de l'entendre conjuguer ses verbes à la deuxième personne du singulier.
Désirée est rebutée par le communisme et tout ce qui pourrait faire qu'elle n'ait plus de rouge à lèvres carmin, d'ombre à paupières, de petit pull en cachemire...
Désirée est folle amoureuse d'Astérion, le gardien du labyrinthe. Il n'est pas rare qu'elle aille voir ceux qui se sont battus contre lui (et ont perdu, évidemment ♥) pour leur demander des détails qu'elle juge croustillants, ou bien qu'elle se glisse doucement dans les sous-sols pour lui souhaiter bon courage avant de s'en aller en rougissant et en gloussant. (oui, elle a un petit côté dinde, mais qu'y pouvons-nous, c'est Astérion, il est craquant)
Elle considère les Goules comme la race supérieure.
Elle fume des Gauloises.
Désirée se fait vomir pour être sûre de garder la ligne. « Le sport ? Une discipline du petit peuple. » (non en fait elle est nulle en sport mais. elle fait genre.)
Comme toutes les goules, elle n'a pas le charisme surnaturel d'une vampire ou d'une succube ni aucun autre don d'hypnose ; ce qui ne l'empêche pas de pécho en masse, non sans fierté. (elle s'en sert d'ailleurs parfois comme argument pour s'accaparer la confiance de sa proie)
En parlant des succubes, tout comme les incubes, elle les considère comme une sous-race de faiblards qui ne savent tellement pas s'y prendre en amour que Dieu lui-même a dû leur filer un coup de main. Bon nombre d'entre eux sont au courant de son point de vue et lui rendent ses regards méprisants.
C'est inconscient, mais quand elle est énervée, elle montre les dents. M'est avis qu'elle déchiqueterait à coup de dents quiconque osant l'énerver encore plus.
Désirée ne parle jamais de son âge car ça la répugne d'imaginer qu'à 73 ans, elle pourrait être encore vivante et serait une petite mémé toute fripée - tout comme ça l'énerve de savoir que la majorité des autres mort-vivants d'ici sont plus âgés qu'elle. Du coup, quand on lui demande, elle esquive le sujet avec un petit rire gêné. (c'est une adepte du « on ne demande pas son âge à une dame, voyons. »)


“ Alors, c'est la panique
sur les boulevards „

QUAND ON AAARRIVE EN VIIIILLE

Désirée ▬ man, i feel like a woman. UTQrk
PSEUDO - Batman, mais quelqu'un ici me connait en tant que Darjeeling.. ♥
ÂGE - BIENTÔT 16 EH OUÉ. (jor ça va changer quelque chose à ma vie)
VOTRE AVATAR - Belarus, d'Axis Powers Hetalia.
COMMENT AVEZ VOUS CONNU TOS ? - Il m'a stalkée. Puis, je suis contente, j'ai ramené mon petit Kaleid (enfin, Kaito maintenant) avec moi.
CODE DU RÉGLEMENT - OK par Erin :3
SUGGESTIONS ? - SUCK MY DICK, IMMA SHARK (non, je n'ai rien de plus intelligent à dire)



Dernière édition par Désirée E. Mortreux le Sam 9 Juil - 18:44, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Désirée ▬ man, i feel like a woman. Désirée ▬ man, i feel like a woman. Icon_minitimeDim 3 Juil - 19:10

Je me suis mise en mode Astérion pour te valider, ne suis-je pas merveilleuse ? *sort*
Bienvenue parmi nous très chère, jolie présentation, amusante avec peu de fautes. C'était agréable à lire ( ton style me dit quelque chose, une petite séance de torture pour te faire parler est au programme 8D)
Alors alors, ma première groupie, je te donnerais un niveau 3 et Lust comme maison vu ton vice, est-ce que cela te convient ?
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MessageSujet: Re: Désirée ▬ man, i feel like a woman. Désirée ▬ man, i feel like a woman. Icon_minitimeDim 3 Juil - 19:49

    Astérion, vous ici ♥♥♥♥♥♥ (voilà donc maintenant Désirée va frimer toute sa vie) (BRAVO) (JE NE SUIS GUÈRE FIÈRE DE VOU- Astériooooooon ** ♥ ) (... BREF)

    Pseudo vert, niveau trois, tout cela me convient fort bien ! /0/

    Et bon courage pour me faire parler, je suis coriace et je m'enfuis facilement, il va falloir s'occuper de moi longtemps pour arriver à un quelconque résultat, monsieur Astérion... muhuhu ♥
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MessageSujet: Re: Désirée ▬ man, i feel like a woman. Désirée ▬ man, i feel like a woman. Icon_minitimeDim 3 Juil - 19:53

Fiou. Coriace ? A voir, faire souffrir autrui est une vocation très chère ♥

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MessageSujet: Re: Désirée ▬ man, i feel like a woman. Désirée ▬ man, i feel like a woman. Icon_minitime

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