CALL ME Invité Invité | Sujet: MELS ;; Ne lui donne surtout pas ta main, elle a toujours faim. Lun 13 Juin - 14:00 | |
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“ Qui suis- je réellement ? „ Ce que vous voyez et rien de plus, absolument rien. | • NOM : Mels. • PRÉNOM(S) : Psyché Sasha • ÂGE RÉEL / D'APPARENCE : Elle ne se souvient plus, mais, d’apparence elle fait la vingtaine. • DATE & LIEU DE NAISSANCE : Là aussi, elle ne sait plus. Psyché sait juste qu'elle est née à Moscou. • RACE : Hel- humaine à pouvoir dit Abel :3 • MAISON(S) DÉSIRÉE(S) : Pride / Envy. • NIVEAU : 3 (4?!) |
“ Ce qui est dehors. Dedans. Ce qui s'est passé. „ Du sang, de la rage, de la haine ; ou au contraire, des sourires, de la joie, des souvenirs ~
« Psyché, avance. Allez, promis, je te ferais aucun mal ma puce. » « Moi, je ne veux pas. En plus, tu es toute ridée, tu sais, comme les vieux ! Et puis, aussi, tu sens très mauvais. Pire que quand père il enlève ses chaussettes après le sport. » « Psy’ ! Comme oses-tu ! » « Vous avez toujours dit qu’il fallait que je dise la vérité, ma tante ! » « Ce n’est pas une raison, sale gamine… ! » « Tu n’aimes pas que je dise la vérité ? Tu veux que je mente ? Hein ? Tu veux que je dise que tu es magnifique ? Que je suis jalouse de ta beauté ? Si tu veux, je peux dire que tu sens la rose, que tu trop belle pour que je mérite de te regarder. Je peux aussi dire, que, je t’envie, c’est vrai, regarde comme tu es splendide ! Franchement, arrête d’être aussi belle, ma tante, mes yeux saigne quand je te regarde, tant tu es belle. » « Psyché, monte dans ta chambre, tu en discuteras avec ton père ce soir. Je suis certaine que tu ne lui parleras pas sur ce ton. » « Mh. Tu penses que j’ai peur de lui ? Tu penses que toi et toute ta clique aller me faire trembler ? Je n’ai pas peur, ni de vous aussi ridée soyez-vous, je n’ai pas peur de père et de ses mains horriblement grande, je n’ai pas peur de vous sermons qui me font rigoler je dois bien l’avouer. Pour moi, vous êtes plutôt comme … un objet de divertissement, je vous jure. Vous me faite rire ! » On entendit un énorme bruit dans la pièce, Psyché tomba à terre, le visage rosée avec comme dessin sur sa peau, cinq doigts fin, ceux d’une femme, ceux de sa tante. « Je t’avais prévenue monte tout de suite ! » La jeune fille se redressa le sourire aux lèvres, comme provocatrice. « Sachez alors ma tante, que je sais bien des choses à votre sujet. Et vous ne voudriez tout de même pas que Père, apprenne que vous avez levé la main sur moi ? Il en serait fâché. » « Psyché, je me répète une fois de plus, monte dans ta chambre, reste y. Et n’en sort pas avant que je ne te l’ordonne. » « Je n’ai aucun ordre à recevoir d’une harpie comme vous. Quand père sera qu’en plus d’avoir levé la main sur moi, vous êtes la cause du décès de mère, croyez moi, je ne donne pas cher de votre vie. » « Petite peste. Penses tu sérieusement qu’ils croiront les dires d’une gamine de quinze ans, qui souffre de dédoublement de la personnalité, prétentieuse, orgueilleuse, à une femme de ma prestance et de mon rang ?! » « Pensez vous qu’ils vous croiront vous, femme sénile ? Dois-je vous rappelez la manière dont vous avez eu ce rang ? Le lit de monsieur mon Grand-oncle est-il à votre gout ? » « Tu aurais dû mourir avec ta mère, insolente. »La vieille femme tourna les talons, en rage, et quitta la pièce claquant derrière elle la porte, laissant la jeune fille du nom de Psyché se tenant la joue ricanant doucement. Un sourire se fraya un passage entre ses lèvres, faisant ainsi disparaître le sourire, pour être remplacé par une mine triste, les yeux humides. Elle détestée parler de sa défunte mère. Celle-ci était morte trois jours après sa naissance, comme son frère jumeaux, Mickaïl. Les causes de leurs décès étaient connues de tous le pays. Le jeune garçon mourut étouffer, alors que la femme, elle mourut empoisonnée. Madame Mels était une femme douce et dès plus aimante, et grâce à ca, elle aller enfin posséder un titre de noblesse, tant désiré par la tante de Psyché. Evidement, que c’est-elle qui les as tué. Enfin, les, Madame Mels a réellement était tué par sa Belle-sœur, par pur jalousie. Mais le décès de son frère reste un mystère sur les raisons de ce meurtre. Psyché essuya lentement la larme qui vain à perler sur sa joue, et commença à marcher vers sa chambre, ou sa sœur jumelle, Misha l’attendait. Ils étaient trois, des triplés. Cela faisait quinze ans que les deux sœurs vivaient la plus part du temps toutes les deux enfermés dans les chambres, à suivre des cours à la maison, au manoir familial. Sans que leurs pères ne leurs prêtes plus d’attention que ca, le décès de sa femme et de son unique fils l’ayant totalement changés. Il aimer énormément ses filles, c’est évidement, mais, ne leurs montre pas assez son amour. « Misha, je suis là. Tu dors ? » Une personne d’une tête de moins que Psyché surgit de derrière la porte et lui sauta sur le dos ricanant comme une enfant. « Grande sœur ! –Psyché est très protectrice envers elle, étant née cinq minutes avant elle, elle reste plus grande- Tu es partie trop longtemps ! OH ! Ta joue ?! Psyché ?! » La blondinette soupira et se jeta dans leur grand lit faisant basculer Misha par-dessus. « Désolée de mon retard. Notre Tante voulait me voir. » « Pourquoi ? C’est elle qui t’a fais cette marque ? Psyché ? Oh oh ? » « Il est tard, on en discutera demain, tu veux bien ? Je suis fatigué, on devrait aller ce couché avant que Père ne revienne. » « Tu me promets de me dire ce qu’il s’est passé hein ? » « Promis, tu seras tout demain. » « D’accord. Je t’aime Psyché… je t’aime. » « Je t’aime aussi… »_______________________________________________ « Psyché, Psyché, réveille toi, j’ai peur… Psyché ! » Il était exactement quatre heures du matin, et dehors, l’orage grondé de plus belle. Ce qui effraya la douce Misha qui alla se loger dans les bras de sa grande sœur, encore endormie. « Misha... Qui a-t-il ? » « Regarde dehors ! Les éclairs, il pleut averse ! Et puis, les grondements de l’orage… Tu as vu comment ils sont puissants ?! Je n’aime pas ! » « Ce n’est rien. Je suis là. Allez viens dans mes bras. Petite nature, va. » « Maintenant que nous sommes réveiller, tu veux bien me dire pourquoi cette marque sur ta joue ? Et, pourquoi ce retard de tout à l’heure ? Je me suis inquiétée. » « Tu sais, il arrive parfois que je dise des choses qu’il ne faut pas. Et, il est normal que j’en subisse les conséquences. » « Qu’à tu dis à Tante ? Tu sais, elle me fait peur… » « Je n’ai dis que la vérité, Misha. Tu as peur d’elle ? Pourquoi ? » « Dis moi ce que tu as précisément dis, Psyché. Eh bien… Elle assiste à tout nos cours alors qu’elle n’a rien à y faire. Elle est toujours là, à nous épies. Nos moindres faits et gestes, elle nous espionne sans cesse. Le moindre faut pas, et elle nous tombe dessus. Aussi, elle discute souvent toute seule, marmonnant des choses incompréhensibles. » « J’ai juste dit qu’elle était ridée, vieille, stupide et sénile. J’ai encore parlé de maman, je lui ai encore tout mis sur le dos, et, elle l’a assez mal pris, jusqu’à dire que moi aussi, j’aurais dû mourir avec eux. Qu’elle idiote. Elle ne te fera rien, et tu sais très bien pourquoi, n’es ce pas Misha. Et puis, il ne faut pas avoir peur d’une femme comme elle ! Je suis certaine qu’elle est inoffensive. N’oublies pas que si elle te touche, Père ne sera guerre content, et ne se fera pas prié pour le lui montrer. » « -ricane doucement- Père a pourtant dit que tu ne devrais pas parler de ca, Psyché. S’il le savait, il serait très fâché contre toi. Comme la dernière fois. Je sais qu’elle ne fera rien, mais, il n’empêche qu’elle dégage une mauvaise ora. » «Père ne me dira rien. N’oublie pas ce que grand-mère nous a dis, ne l’oublie jamais. Ils ne pourront jamais nous faire de mal ! Jamais. Nous sommes exceptionnels. Toi-même tu devrais le savoir, depuis le temps. » « Tu as raison ! Mais, rappelle moi pourquoi papa refuse que l’on aille dehors ? » « Encore ? Humph, et bien, parce qu’il pense que je suis folle, et que j’essaye de t’embarquer dans mes délires, Misha. S’il savait que cela est faux. Tu me crois toi, hein ? » « Evidement que je te crois Psyché ! Je n’aime pas qu’ils disent que nous sommes des monstres. Ca fait mal. » « Ne tant fais pas. Un jour, ils verront qu’ils avaient tous tort. Et crois-moi, c’est eux qui nous craindront et pas l’inverse ! Je te le promets Misha. Plus jamais ils ne nous traiteront de cette manière. Plus jamais.»__________________________________________________________________________ « Misha, plus vite ! Ils arrivent ! » « Psyché, qu’a tu fais ?! Psyché… » « Elle voulais t’emporter loin de moi. Tu crois que j’allais la laisser faire ? La harpie ! Elle ne te fera plus jamais peur, ne tant fais pas, je te protégerais, je te le jure. » « Psyché, c’est quoi toutes ces tâches pourpres sur ton collant ? Psyché, tu n’as pas… ? » « Elle a rejoint Mère et Jurek. Elle n’a rien sentie, j’ai était rapide, enfin, ils. « Tu m’avais promis de ne plus recommencer à jouer avec eux, tu me l’avais promis ! » « Ecoute, je n’ai recommencer qu’une seule fois, aujourd’hui, mais elle voulais que tu partes loin de moi. Tu aurais voulue partie avec elle peut-être ? Misha. » « Evidement que non, je veux rester avec toi, toujours ! Mais, tu n’aurais pas dû utiliser ca, les fantômes, tu sais… » « Ne tant fais pas, ils sont partis, tous va mieux. Je ne le ferais plus jamais, sauf en dernier recourt, promis. » Les deux jumelles sautèrent de la fenêtre de leur chambre pour atterrir dans un buisson. Psyché commença à courir mais s’arrêta rapidement voyant sa sœur allongée au sol, ricanant. « Mais que fais tu ?! Misha ! » La jeune fille regarda Psyché et montra du doigt sa cheville cassée. Misha respira doucement, pris sa cheville en main et la laissa se remettre en place, comme ci rien ne s’était passé. « Tu paniques toujours pour un rien. Comme s’il était possible que je me fasse mal, Psyché voyons ! » Main dans la main, les deux blondes coururent à travers le champs qui entourer leur manoir, pour arriver jusqu’à une ville charmante ou une nouvelle vie les attendaient. Loin de toutes ses règles stupides et sans aucunes restrictions. Les années passèrent et elles surent se faire oubliées de tous. Le plus difficile fut pour Misha. Le fait qu’elle puisse se régénérer toute seule posa énormément de problème. Comme la fois ou au lycée, elle tomba d’une dizaine d’escalier et arriva en bas, le bras tordue ainsi que le genou casser, et les remit en place, devant tous les autres élèves l’insultant de « monstre » « erreur de la nature » et j’en passe des vertes et des pas mures. Misha en vu de toutes les couleurs, et dû au fil du temps apprendre à simuler la douleur devant les bains de foules etc pour ne pas paraître trop, différente des autres. Pour ce qui était de Psyché et de ses fantômes, elle quitta de moins en moins le domicile, ne sortant juste que pour travailler ou aller faire des courses. Associable, elle eu beaucoup moins d’ennui que Misha, mais du à mainte reprise aller régler le compte de ceux qui s’amuser faire du mal à Misha pour qu’elle se « régénère » devant leurs yeux. Il était devenue insupportable pour Psyché de voir Misha, tout les soirs rentré en larme à la maison, se jetant dans les bras de sa jumelle lui posant toujours les mêmes questions ; Pourquoi je suis comme ça ? Suis-je vraiment un monstre ? Tu penses qu’ils on raison et que je devrais mettre fin à ma vie ? Et à chaque fois, Psyché savais trouvés les mots pour sécher les larmes de la jeune Misha. Psyché était toujours très violente avec les gens qui s’en prenaient à sa Misha. Vous savez contrôlez les fantômes à votre guise, c’est juste « magique ». Ils sont exactement ce que bon vous semble, comme écartelez un humain, lui brisés les os, provoqués en lui des maux de tête si violent qu’il voudra mettre un terme à sa vie. Et c’est comme ça que Psyché se charge de faire peur aux gens qui font du mal à sa sœur. Évidemment qu’elle a tué, mais, ces fois si c’était tout juste involontaire. Le premier c’était sa tante, ces petits joujous y étaient allé trop fort, pour son bonheur bien sure. Le second, c’était un homme cette fois, assez grand, copulant mais assez stupide pour s’en prendre à quelqu’un craint de toute une ville. Il fut démembré. Psyché se fout qu’on puisse l’insulter elle, ça lui passe au dessus de la tête, même si quelque fois elle réagit et vous fait mordre la poussière du mieux qu’elle peut. Le troisième lui se suicida. Mais, par la faute de Psyché oui ! Comme dis plus haut, les mal de tête que Psyché provoque peuvent être, mortels. Psyché tout ce qu’elle veut, c’est qu’on la laisse, elle et sa sœur vivre une vie normale, avec des gens comme eux, dotés de pouvoirs comme eux, sans paraître des « monstres » aux yeux de ces gens là. Jusqu’au jour ou les deux filles trouvèrent refuges à « The Other Side » là ou elles furent accueillit comme de personnes, comme elles étaient.
“ Je suis particulier... N'est-ce pas ? „ Les petites choses qui nous rendent différents !
• Psyché elle adore sa sœur plus que tout, elle est tout son monde et n’hésitera pas du tout à faire usage de son pouvoir pour calmer vos ardeurs.
• Psyché elle porte un collier qui jadis appartenue à sa mère, il est son porte bonheur et tuerais pour le reprendre à quelqu’un qui oserais le lui prendre.
• Psyché elle n’est pas méchante, elle n’aime juste pas qu’on la fasse chier. Ou qu’on touche de trop prés à Misha, elle est même trop protectrice envers sa sœur jumelle.
• Psyché elle garde une cicatrice dans le cou, faite par sa Tante. Elle ne le montre jamais, et même sa propre sœur n’est pas au courant de cette blessure.
“ Qui est derrière l'écran ? „ Montrez-vous, on ne mord pas, enfin pas tous. | • PRÉNOM / PSEUDO : Le LOOOUP. • ÂGE : 15 ans. • VOTRE AVATAR : Sheryl Nome. • COMMENT AVEZ VOUS CONNU TOS ? : Tu es je crois, trop curieux ! • CODE DU RÈGLEMENT : Moi, j'ai pas besoin de le foutre, kufufufu ! • SUGGESTIONS ? : Ouais, Samael, elle gère du paté, mais genre, trop.
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Dernière édition par Psyché S. Mels le Lun 13 Juin - 17:33, édité 1 fois |
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