CALL ME Invité Invité | Sujet: Declan Elias. Mar 19 Juil - 20:40 | |
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“ Qui suis- je réellement ? „ Ce que vous voyez et rien de plus, absolument rien. | • NOM : Declan. • PRÉNOM(S) : Elias. • ÂGE RÉEL / D'APPARENCE : 17 ans; • DATE & LIEU DE NAISSANCE : 12 septembre 2008, Londres. • RACE : Neko! • MAISON(S) DÉSIRÉE(S) : Wrath. • NIVEAU : 3, agilité, souplesse, sens accrus. (Voit dans le noir, sent les odeurs d'une manière plus forte, réflexes plus aiguisés...). Il peut faire des trucs très étonnants... Pervers, passez votre chemin! En gros, il s'est assez bien amusé des ses nouveaux pouvoirs, s'est entrainé, habitué à ses gênes etc.
| “ Ce qui est dehors. Dedans. Ce qui s'est passé. „ Du sang, de la rage, de la haine ; ou au contraire, des sourires, de la joie, des souvenirs ~ Commencer par son histoire, expliquerait son physique... Mais l'inverse fonctionnerait tout aussi bien. Disons qu'Elias est quelqu'un de plutôt spécial, exceptionnel même. Vous allez me dire, que toutes personnes rejoignant ce pensionnat peut se vanter de l'être... Mais là, c'est encore différent. Le garçon est un neko... Pas les nekos des animes, tout doux qui ne peuvent s'empêcher de ronronner dès que vous leur touchez la queue. À la base, et ce dès sa naissance, c'est un humain. Physiquement, je veux dire. Pas de moustaches pour chatouiller le vagin de maman, rien. Elias pourrait se vanter d'avoir été un parfait humain jusqu'à ses quatorze ans, année du drame. "Drame", c'est ainsi que cela serait nommé par un personne ne sachant pas profiter d'une différence, ne pouvant pas la muter en qualité, don, ou pouvoir. Il a toujours eu une force de caractère exceptionnelle, et c'est certainement dû à ça qu'il n'a pas choisit de se suicider le jour où des oreilles lui ont poussés sur la tête. Ce jour d'ailleurs... Un de ceux que l'on ne peut oublier...
C'était au tout début de l'adolescence, les hormones qui bouillonnent, les mains qui se glissent sous la couverture... Enfin, je ne vais pas vous faire un dessin. Elias commençait à s'intéresser aux filles, et, à présent, au lieu de leur tirer les cheveux, il leur touchait les fesses. Oui, un garçon s'amuse de peu à cet âge vous savez, et personne ne le niera. Et comme tout "bout d'homme" qui se respecte, une jeune donzelle attira plus particulièrement son attention. Une petite blondinette, d'une dizaine de centimètres de moins. Des yeux verts -pas bleus, comme vous auriez pu vous y attendre!-, elle était plutôt mignonne, coquette, un peu "coconne". Mais rien sortant de l'ordinaire, pas encore. C'était une fillette comme les autres, mais Elias lui, la voyait différemment, il la trouvait spéciale, unique, il la voulait. Tout bêtement, il commença à lui faire des petits sourires, à lui écrire des mots doux avec des fautes d'orthographe, mais cela n'empêchait pas la demoiselle de glousser quand elle les lisait. Doucement mais sûrement, une petite amourette débuta entre les deux adolescents. On se tient la main, on se caresse la joue, une petite attention par-ci, une autre par-là.
Un jour, Elias décida d'inviter Blondie au cinéma. Il cassa sa tirelire, car il ne voulait pas dire à sa maman qu'il convoitait une jolie demoiselle. Oui messieurs, c'est à cet âge que l'on se cachait les yeux en criant "Baaah" quand notre mère regardait des films d'amour à la télévision, alors que dès qu'elle tournait le dos, on écartait les doigts pour jeter discrètement un oeil. Le début du début quoi. Comme prévu, le garçon vint chercher sa bien aimée -en bicyclette-, c'était d'un romantique! Les joues roses, les cheveux aux vents, les mains baladeuses plutôt timides, qui une fois dans le noir de la salle de cinéma, l'étaient moins. Vint alors l'instant du baiser, vous l'aurez deviner! Le cliché par excellence... Bien que c'est la demoiselle qui fit le premier pas. Elle vint glisser ses longs doigts aux ongles peint de rose pastel dans la nuque du garçon, et déposa ses lèvres pourvues de gloss à la fraise sur les siennes, il s'en souviendra toujours, de ce goût fruité. Au début, l'échange fut bien maladroit et assez timide, puis, il se fit plus osé et langoureux... Même un peu baveux, mais on ne contrôle pas tout à cet âge!
LE DRAME! Oui, enfin!
Un éclair lui fendit la tête, une douleur vive, inconnue, horrible, qui laissa un goût amer au garçon. Il se tordit de douleur, alors que Blondie s'emballait juste devant lui, affolée que son Roméo soit à l'agonie. Il dû quitter la salle, mais rassura d'abord la belle, "Je ne suis plus constipé!", lui dit-il. Bon ok, niveau excuse il aurait pu trouver mieux, mais que voulez-vous. Arrivé aux toilettes, il s'installa dans une des cabines, sur le carrelage froid et sinistre, coude sur la cuvette, son autre bras enroulé autour de son ventre. Cette douleur était persistante, il se sentait mourir peu à peu, tandis que de la sueur perlait sur son front. Il était étrangement pâle... Il s'évanouit. Des heures passèrent, peut-être des jours. Personne ne sembla remarquer sa présence; même sa donzelle ne l'avait pas attendu. Elias sortit de son trou, et se présenta devant le miroir pour se passer de l'eau sur le visage... Juste un petit malaise, se dit-il. Il se redressa, se passa une main dans les cheveux, quand soudain il heurta quelque chose d'étrange. Sans même voir ce que c'était, il s'affola et tira vivement dessus, se faisant crier de douleur...
Avec une peur non-contrôlée, il se redressa face au miroir, et tomba yeux à oreilles avec ces deux appendices, plantés comme des pyramides sur le haut de sa tête... Ses yeux, écarquillés, ne pouvaient que contempler le spectacle... D'abord, il crut à une blague. Un crétin devait lui avoir collé ça sur la tête pendant qu'il dormait dans les toilettes. Comme l'idiot qu'il était, le garçon tira nombre de fois dessus, avec comme unique résultat; une douleur vive. Ce n'est qu'à ce moment qu'il remarqua les feulements s'échappant d'entre ses lèvres. Merde alors, que lui arrivait-il? Des oreilles de chat, et puis quoi encore? Une queue?! ... Attendez. Faisant volte-face, et tendant les fesses vers le miroir, il ne vit... Rien. Il soupira. Bon, c'était déjà ça... Il passa sa capuche sur sa tête, et rentra en vitesse, tête baissée.
Une fois à la maison, il courut annoncer cette horrible nouvelle. Tel qu'un mousquetaire qui dégainerait son épée, Elias repoussa sa capuche. "Maman, maman, j'ai des oreilles!". La mère, perplexe, répondit d'un ton las. "Oui, moi aussi mon chéri, j'en ai deux, et ne crie pas, je ne suis pas sourde." S'affolant à nouveau, il passa une main sur sa tête, elles avaient disparu.
Son train de vie était revenu à la normale depuis quelques semaines. Rien d'étrange, pas de choses poilues sur la tête. Il n'avait plus vu Blondie, mais ne comptait pas s'arrêter à une donzelle. Ne faisant pas de lien entre les oreilles, et le baiser, il partit à nouveau "en chasse", bien plus sûr de lui cette fois. Une jolie brunette cette fois, qu'il invita au restaurant... Bon, par restaurant, j'entend bien sûr "macdo". Même histoire, quelques regards échangés, un baiser, un malaise, des oreilles... Et une queue. Longue, velue, incontrôlable. Il en avait même cassé le porte-savon des toilettes à force de tourner pour essayer de la voir plus en détails... Cela fait, il avait du bien sûr s'enfuir pour ne pas devoir le rembourser. (Le premier qui ose dire qu'il n'y a pas de porte-savon chez macdo, je lui casse les dents!)
Les jours, les semaines, les mois passèrent. Il n'osa plus fréquenter des filles. Ce n'est qu'une fois, au cours de gym, que le malheur arriva. Elias, arrivant en retard pour changer, dû se déshabiller en vitesse, mais comble du comble, ce matin, il n'avait pas trouvé ses boxers et avait dû en enfiler un plutôt vieux, avec des petits camions dessus. Dos à la troupe, il entendit des rires, des chuchotements, des ricanements dans son dos. Il se retourna pour participer à cet élan de bonne humeur, et remarqua alors qu'on le pointait du doigt, ou plutôt, son boxer. Le rouge lui monta aux joues, les larmes lui montèrent aux yeux... Et les oreilles à la tête si l'on peut dire. Bientôt, il se retrouva à feuler, frustré, sa queue battant dans son dos. Les regards s'arrondirent, ils étaient stupéfaits... C'est là que la CdC intervint dans son histoire.
Comme cette brève partie de sa vie a pu vous le faire comprendre, ce jeune chat ne voyait ses attributs apparaître que lorsqu'il ressentait une émotion trop violente. L'excitation; la honte, et bien d'autres encore. Il devait apprendre à contrôler ce pouvoir pour ne pas choquer les humains, et donc s'habituer à habiter dans un corps mi-chat, mi-humain... Jusque là, je n'ai parlé que de sa mère, jolie égyptienne, tendre avec son fils... Ce qui est tout à fait normal, puisque son père est partit avant sa naissance, sans laisser d'explication. Elias apprit donc bien plus tard que ses gênes félines provenait de ce père absent, qui n'avait donc pas pu le prévenir des changements survenant à l'adolescence. Merci le cadeau quoi. Comme héritage, il aurait préféré de l'argent plutôt que des oreilles à la con hein. Enfin, il faut préciser que cela cadre plutôt bien avec son physique. Grand, élancé, légèrement musclé, une peau hâlée, ses oreilles ajoutent une petite touche sauvage, ou mignonne, selon les instants. Du haut de son mètre quatre-vingt, il arrive aujourd'hui à contrôler ses appendices, bien que dans des situations trop embarrassantes, excitantes ou autres, il lui arrive de ne plus pouvoir les contrôler correctement, et de se rendre ridicule, mais que voulez-vous, on ne change pas une équipe qui gagne. Vous aurez à présent compris, que lors de ses transformations, il est muni de deux oreilles, d'une queue, d'ongles plus acérés, et qu'il... feule. Bon, ça c'est une des choses qu'il ne sait absolument pas contrôler, mais ça viendra, juré!
Sinon, des petits détails, son père est anglais et sa mère égyptienne, d'où "Elias", prénom égyptien. Il a grandit à Londres.
“ Je suis particulier... N'est-ce pas ? „ Les petites choses qui nous rendent différents !Je crois que comme phrase d'introduction, ce qui conviendrait le mieux serait; Il déteste la fraise, et les porte-savons l’insupportent. Le macdo lui flanque la diarrhée, et il s'approche difficilement des filles.
Un trauma? C'est certainement ça.
On peut dire, qu'au jour d'aujourd'hui, Elias est difficile d'approche. Il a toujours cette peur que ses oreilles se pointent sans qu'il ne les aille sonnées. Elles arrivent toujours à l'improviste, c'est bien connu. Il a toujours ce doute qu'une personne devine pourquoi ses attributs apparaissent, et en joue. Il détesterait cela plus que tout, ça serait bien trop nuisible à la petite vie pénarde qu'il tente de mener. Étant plutôt susceptible, impulsif et borné, il ne pourrait supporter que l'on s'en prenne à sa personne de cette manière. Il est fier, très fier, et être rabaissé serait certainement la pire des choses qu'il aurait à subir. Les critiques, même les meilleures et les plus constructives blessent sa personne, il a du mal à concevoir que des choses puissent être nulles ou mauvaises chez lui. Pourtant, il ne se croit pas parfait pour autant, il sait qu'il a des défauts, mais il n'aime pas qu'on les lui fasse remarquer. Il a plutôt mauvais caractère, est borné sur ses opinions et se vexe vite, il tente pourtant de paraitre inébranlable et impassible pour garder la face.
Elias s'emporte vite. Si vous jouez avec ses nerfs, c'est avec votre tête qu'il jouera, en guise de punching-ball. Ne cherchez pas à le mettre hors de lui, ce serait une des plus bêtes idées que vous puissiez avoir. Tentez plutôt de le garder au bon fixe, car l'air de rien, il apprécie avoir des amis en qui il peut croire, sur qui il peut se poser sans avoir peur d'être trahi. Lorsqu'on ne le connait pas, il peut sembler assez superficiel, mais si l'on s'attarde un peu sur sa personne, on découvre alors qu'il n'y a pas seulement haine et violence en lui, mais bien plus que ça. Une personne passionnée qui ferait tout pour l'être aimé, que ce soit un ami ou un amour. Il a énormément de valeurs, et les respecte au maximum.
En résumé, c'est quelqu'un de vite agacé, lassé, qui démarre au quart de tour si on le cherche. Pour se protéger, il montrera bien vite les poings, et les griffes! Il est très agile, souple, et rusé. Il a facile de comploter des plans pour vous faire tomber. Ses sens sont décuplés, et il en profite!
Et pour terminer, oui, Elias aime des choses... Celles qu'il reconnait: Le parfum pistache et le poisson. Et celles qu'il nie: La tendresse, l'affection et l'attention.
“ Qui est derrière l'écran ? „ Montrez-vous, on ne mord pas, enfin pas tous. | • PRÉNOM / PSEUDO : Yennaiv~ • ÂGE : 17 ans. • VOTRE AVATAR : Original artwork - Einlee. • COMMENT AVEZ VOUS CONNU TOS ? : Par un membre. • CODE DU RÉGLEMENT : Code Ok By Julius • SUGGESTIONS ? : C'est trop étroit!
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Dernière édition par Elias Declan le Sam 23 Juil - 12:22, édité 10 fois |
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