You have bound my heart with subtle chains
So much pleasure that it feels like pain
So entwined now that we can't shake free
I am you and you are me
Regarde moi ! Non regarde moi dans les yeux ! Tu vas mourir humain ... Tu vas finir sous mes crocs ! Réjouis toi …Ses dents puissantes se refermèrent sur cette gorge trop frêle répandant une gerbe de sang sur le sol. Le corps sans vie tomba alors, un bruit d’os brisé s’éleva un instant avant que le silence ne se fasse maître. Il s’abreuve du nectar rouge, dévorant sa peau tendre, ses muscles peu développés, si jeunes, si fougueux. Les os craquaient sous sa vigoureuse mâchoire. C’était une scène immonde, ignoble pour quiconque oserait entrevoir les lieux du crime mais si jouissive, si parfaite pour le monstre dévoreur d’enfant.
Oh oui ! tu étais délicieux … Dommage qu’il est fallu que tu croises ma route. Petit enfant trop innocent .. Le loup se traina ensuite à l’ombre de la ruelle malodorante, trainant sa trop lourde carcasse, son poil rugueux et son odeur capiteuse de chaire fraichement dévorée. Le lycan était gavé, abondamment nourri. En cette pleine lune, deux jeunes enfants avaient rejoint les ténèbres. Yui Watase, le loup avait sortit ses griffes.
Avoue que tu aimes ça Yui ! Dis que tu jubiles lorsqu’ils crient, lorsqu’ils appellent leur mère à l’aide, lorsqu’ils se tortillent vers la lumière pour t’échapper ! Tu te plais dans ce sang … tu aimes ce pourpre qui souille ton museau .. et tes mains lorsque tes pulsions ne se contiennent plus et que tu ne peux attendre la pleine lune .. Avoue !Son corps frémit, de sa truffe rougie au dernier poil de sa queue noire eben.Que pouvait-il donc faire à présent rassasié ? Arpenter les parcs pour effrayer les couples, courir sur les toits des maisons en banlieue .. des activités peu lucratives, indignes d’un loup comme lui …
comme moi… Alors il se détourna et se hâta de retrouver sa mansarde intime pour finir les dernières heures de sa nuit pour une fois seul. Nulle friandise ne se trouvera dans son lit, les divertissements de ce soir étaient finis. Il fallait qu’il dorme, qu’il rentre chez lui, qu’il se repose pour le lendemain et surtout qu’il nettoie son pelage.
Hâte toi monstre, esclave de la lune.Il arriva peu de temps après dans son habitation et y rentra par la porte de derrière, celle aménagée pour ses sorties nocturnes. Le loup se traina vers sa chambre, conscient qu’il lui fallait un endroit confortable pour s’endormir. En chemin vers la dite chambre il lapa son pelage souillé et gronda en remarquant le sang coagulé sur ses longs poils sombres. Un grognement d’insatisfaction sortit de sa gueule et il se dirigea vers le sofa le plus proche pour poser son séant lupin. Gagné par la fatiguée, il logea son museau entre deux coussins pour y respirer ce parfum chaud et unique, cette odeur particulière, celle de son territoire.
Demain … je m’occuperais de mon corps ..demain. Et le loup sombra dans un profond sommeil dont il ressortirait transformé dans tous les sens du terme.
Songe d’une nuit. Sonde tes envies
-Nooon ! Va t-en !! Sors de ma maison démon !! Elle criait, sa rage, sa colère, sa fureur se déversant comme de la lave en fusion vers le loup affamé. Lui ne cessait de grogner, d’hurler sa faim contre l’humaine. Il avait faim ! Elle se trouvait là, elle était sa proie, Il désirait la dévorer, la détruire et la voir souffrir.
Ecarte toi femelle ! Ne vois-tu pas qu’il va te tuer ! Laisse toi faire et tu ne souffiras pas ! Tu vas mourir insolente ! La petite poupée de chaire agitée une sorte d’ustensile rond avec une queue solide qui trônait dans sa main. Elle balayait l’air et l’espace devant elle créant une sorte de barrière protectrice entre le prédateur et son corps de femme.
-Quitte mon foyer le chien ! Tu n’auras rien !! Elle l’exaspérait à se conduire ainsi et lui ne cessait d’aller et venir de droite à gauche, la regardant avec force et fureur, jetant un coup d’œil derrière elle, aux alentours pour voir si quiconque arrivait.
Faim ..j’ai faim .. sang … chaire .. tripes .. boyaux … Un filet de bave s’écoula de ses babines entre ouvertes et il décida de passer à l’attaque. Le jeu avait trop duré. Il la mangerait violemment, il se régalerait de ses entrailles. D’un bond il atterrit sur le flan de la jeune femme, évitant par la même occasion la pseudo arme qu’elle tenait fermement. Elle hurla de peur alors que le lycan la mettait à terre.
Chien ! Tu as osé l’affubler de ce nom odieux. Regarde le ! Regarde ta fin dans ses yeux ! Il est le prédateur et maintenant ton faucheur. Sa colère était entière et totalement dirigée vers la femme. Il bondit à nouveau et atterrit sur elle alors qu’elle rampait comme une larve inférieure sur le sol en direction de la cuisine. Elle se débattit mainte fois alors qu’il jubilait de la voir ainsi, chercher dans les profondeurs de son être sa survie, son désir de ne pas finir broyée. Yui hurla longuement, ses griffes s’enfonçant dans la chaire des épaules de sa victimes, ses pattes arrières fièrement dressées sur le sol
Sang .. Faim .. assoiffé … Alors qu’il ouvrait sa gueule pour rabattre ses crocs sur sa nuque trop fragile, la jeune femme se retourna vivement et une tache noire fendit les pupilles dilatées du loup.
Non ! Comment as-tu osé ?! Sale chienne ! Tu l’as blessé ! Tu vas mourir ! MOURIR ! Son sang perlait sur sa joue et sur les bases de sa mâchoire. L’humaine avait réussi à empoigner un couteau sans qu’il puisse s’en apercevoir et dans un sursaut de vie elle l’avait grièvement amoché au visage. Cela ne fit que décupler sa fureur et accroitre sa faim. Sans un grognement, silencieux, le voile de son regard se leva et il riva ses prunelles ocres aux siennes. Aussi rapide que l’éclair ses dards tranchants s’abattirent dans sa peau signant son arrêt de mort. Mais alors qu’il se nourrissait en abondance, un claquement de porte retentit et un enfant, une autre proie apparut dans le champ de vision du loup. Il ne se préoccupa pas de sa présence, ne le considérant pas comme un danger, il serait repus de toute façon de cet être là alors il pourrait bien ignoré ce môme qu’il recroiserait un jour ou l’autre. Il la tua sans ménagement sous les yeux de l’enfant dont il oublia l’existence. Elle était délicieuse, une friandise …
“I'm on the highway to hell
Highway to hell
Don't stop me„
.. Si sucrée, cet élan de combativité avait réveillé dans son sang une saveur particulière, un goût capiteux, liquoreux. Ses muscles étaient gorgés de cet ichor pourpre… à peine conscience, il se rendit compte qu’il avait adoré ce moment, tuer une mère sous les yeux de son enfant. Détruire un pilier, un repère essentiel à la vie d’un môme. C’était parfait, exquis, mieux même que de tuer l’enfant lui seul, non il avait réduit à néant les espoirs, quelques rêves surement d’une existence.
Tu adores ça ! Voire les autres souffrir comme tu as souffert ! Répéter sans cesse ton premier meurtre .. Tu es la mort Yui et elle te colle à la peau, elle ne te lâchera plus jusqu’à ce que tu lui cèdes ton âme. “No stop signs
Speed limit
Nobody's gonna slow me down„
Il se redressa vivement et attrapa l’origine de ce bruit perturbateur avant de l’envoyer valser à l’autre bout de la pièce. Son portable, qu’il n’avait pas mit en vibreur, vrilla ses oreilles et le sortit de son rêve étrange dont les brides commençaient déjà à s’estomper. Yui se laisse retomber sur son lit de fortune remua dessus, grondant comme une bête mal dressée, et se retourna alors en soupirant, enfouissant son visage dans le cuir du mobilier. Il ne désirait pas se lever, il voulait rester ainsi, dans la quiétude de sa propriété.
“Like a wheel
Gonna spin it
Nobody's gonna mess me around
Hey satan
Payin' my dues„
Maudit portable … Alors dans un sursaut de volonté, il se releva à nouveau. Ses mains vinrent immédiatement toucher son visage, remettre en place ses cheveux fous et indomptés, enfin essayé de les coiffer un peu, avant de passer à la douche.
Mes mains .. Dire qu’il était bête il y a quelques heures et le voici à nouveau humain ou presque. Dans un soupire exaspéré il décida de se réveiller correctement pour enfin entamer une journée normale ou ce qui s’en rapproche. La salle d’eau fut son premier point de rendez vous avec un commencement de matinée stable. Le miroir lui refléta une image effrayante, celle d’un homme cerné par la fatigue, bouffi par la faim, donc les yeux rouges sang vrillaient sans cesse les zones marquées de son visage. Et ses prunelles s’attardèrent sur cette longue cicatrice naissant de son oreille gauche à la base de sa mâchoire.
Saleté d’humaine .. Ton fils le paiera un jour sois en suis sure et tu te retourneras dans ta tombe car tu ne pourras rien faire pour le protéger ! Rien ! Délicatement il tata cette trace noirâtre, suivant ses lignes irrégulières, ses piques semblables aux reste d’une morsure dont une courait vers son œil et tendait à lui arracher. Un grondement rauque sortit du fin fond de sa gorge et il détourna les yeux sur sa coiffe.
Pitoyable Il mit peu de temps à se préparer, à faire l’humain, à adopter leur posture peu fière, le dos courbé. Il fallait se fondre dans la masse, ne pas se faire repérer.
Pour vivre heureux, vis caché ! Mais lui ne désirait que de se dévoiler, pour montrer sa véritable nature, pour les effrayer, pour semer la terreur dans leur cœur
Ce serait parfait .. Et le cycle recommence inlassablement, il se rendit à son boulot navrant, entouré d’humains pitoyables aveuglés, sans avenir véritable, idiots de ne pas voir l’évidence sous leurs yeux. Un monstre est caché parmi eux, un loup dans la bergerie.
Oh oui mes agneaux !Strange compulsions
That I can’t control
Pure possession of my heart and soul
I must live with this reality
-Non mère arrête ! Il baissa les yeux et se recroquevilla sur lui-même. Ses épaules étaient si frêles, son corps tremblait comme une feuille morte prise dans l’étau du vent. Il pleurait à chaude larme, il avait peur, terriblement peur et il ne souhaitait plus souffrir.
-Je t’ai déjà dit de m’appeler Linya ! Je suis pas ta mère ! Je ne le serais jamais ! Je ne veux pas l’être !!Un sanglot s’échappa de ses lèvres et le bout de bâton s’abattit sur ses avant bras découverts.
Protéger sa tête avant tout pour que les autres ne voient pas, ne te voient pas avec ces blessures. 1 coup,
2,
3 .. puis
4. La rage, la violence s’emparaient de la main de la jeune femme et la frénésie des coups, le cri du gamin réveillait en elle une méchanceté sans nom. Puis il criait plus elle frappait, mais il avait mal et comment ne pas contenir ses exclamations de douleur ?
5,
6 puis
7. Le bras gauche commençait à saigner, des marques violacées striaient son bras avec insolence. Preuve de sa faiblesse, preuve pour un petit garçon qu’il n’était pas capable de se défendre tout seul. Il prit sur lui-même pour contenir ses larmes et se mordit sa lèvre pour se retenir de craquer, faisant perler le sang dans sa bouche.
Du sang … Mon sang ..Etre fort dans ses moments là relève de l’impensable, de l’inimaginable.
-Tu es un batârd ! Tu as ses yeux ! Je te hais ! Je le hais !Et l’arme vola à travers la pièce. Elle avait enfin finie. Il pouvait respirer. Pourquoi fallait-il qu’il ressemble autant à son père, pourquoi devait-il supporter sa colère qui n’était même pas dirigé contre lui mais contre son géniteur ?.. Il se redressa faiblement et se dirigea sans attirer l’attention de son bourreau dans sa chambre pour panser ses blessures.
Je vais devoir mettre un long pull demain à l’école .. Et celui qui me fera une remarque, je le ferais taire. Il appliqua une pommade puis des bandages serrés pour contenir les hématomes. Tout devait rester caché. Contenir sa rage dans son cœur, contenir sa peur, ne pas montrer ses faiblesses aux autres. Rester digne en toute circonstance et surtout sortir de cette maison pour ne plus recevoir de corrections.
10 ans plus tard-Hmmm Yui c’est si b-bon … encore.. Des coups de rein acharnés, la sueur perlant de son front. Encore une femme dans son lit, encore une victime dans ses bras. Elle ne cessait de gémir, d’en quémander plus encore.
L’insolente.. Mais il ne donnait que ce dont il avait envie d’offrir, faisant passer son plaisir sauvage avant tout. Ses mains agrippèrent les hanches de sa proie sexuelle puis glissèrent vers son dos pour la faire se courber un peu plus. Le plaisir grandissait encore et éprit par celui-ci, ses doigts vinrent se perdre dans les cheveux blonds de la belle pour qu’elle baisse la tête.
Prends et ne donne rien en retour, sois le maître en toutes circonstances. Un dernier mouvement de bassin, et la jouissance les prit tout deux, elle en premier, exténuée, affaiblie par sa fougue et sa rage, lui en second, habituellement satisfait de son travail d’amant. Il la souilla profondément, sans aucune gêne et même si elle ne l’avait pas souhaité, elle n’aurait pas eut le choix. Il se laissa tomber alors sur le lit, son corps parcouru d’un frisson de fin d’excitation, les jambes et bras écartés afin de se refroidir un peu. Et la jeune femme tenta de se blottir prés de lui.
Ignorante .. Alors il se leva, se rhabilla rapidement, ne voulant pas qu’elle le touche à nouveau. Yui n’aime pas les démonstrations d’affection, Yui n’aime pas ce qui s’apparente à l’amour.
-On va se revoir Yui n’es ce pas ? Il la regarda à peine tandis qu’il fermait son pantalon.
-Au lycée demain ouais.Un soupire de désir, et elle tenta de ramper vers lui, comme la larve inférieure qu’elle est. Ne comprends t-elle pas qu’il ne peut lui accorder plus, elle ne le mérite pas.
-Tu vois d’autres filles hein ? Je veux être la seule Yui, je t’en prie ! Je te veux ! Il finit de s’habiller et ne se retourne pas. Bien sur qu’il voit d’autres filles et elles réclament toutes la même chose. Etre l’unique, la seule qui gémit dans ses bras.
Tu es seule maintenant, tu aurais du te taire petit enfant Lentement, il sortit de la mansarde , laissant la belle en pleure dans les draps souillés. Il ne la reverra pas.
2 ans plus tardDepuis combien n’était-il pas rentré chez lui ? Depuis combien de temps n’avait-il pas vu sa génitrice ? Il l’avait quitté lors de ses 12 ans, lorsqu’il avait compris qu’il pouvait profiter des parents des autres en pleurant, en jouant la comédie.
Jouer la comédie ? Non Yui … tu souffrais vraiment, tu avais mal et tu pleurais de voir tes sois disant amis heureux avec leurs parents. La mère d’un de ses camarades de classe l’avait sans problème hébergé et depuis il vivait chez elle. Son « pote » n’appréciait pas vraiment la situation mais il s’en accommodait. Comment réfuter l’autorité d’une mère ? Mais en ce jour, le jeune homme avait décidé de retourner dans son lieu de naissance, dans cet endroit où il avait pleuré, où il s’était caché pour ne pas subir les débordements de colère de sa génitrice. Il ne frappa pas la porte avant d’entrée. Il était un homme à présent, un garçon de 17 ans, fort, beau robuste. Il n’a plus peur. Il observe le décor
Rien à changer .. , rentre plus profondément dans la maison, jette un œil au salon puis à la cuisine dont l’évier déborde d’une pile de vaisselles sales. Il entendit du bruit provenant de la chambre de sa mère et sans en faire lui en retour, s’approcha de la porte. Elle était là sur son lit, endormie. Si fragile ainsi exposée, si faible et chétive. Elle avait vieillit certes mais elle était encore jeune, 32 ans ce n’est rien, la femme est mature et expérimentée à cet âge là. Il n’osa pas bouger, pas de peur de la réveiller, non, il faudra bien qu’elle émerge pour ce qu’il lui a préparé et il veut qu’elle voit son visage, le visage de son enfant, de son batard.
Sale chienne .. Violemment il donna un coup de pied dans la porte ce qui la fit sursauter. Elle bondit hors du lui, à moitié éveillée et chercha du regard l’origine de ce dérangement. Et elle l’aperçut enfin, ses yeux horrifiés s’ouvrirent et elle resta bouche bée.
-Jeremy ? C’est toi ? Encore le prénom de son père, une fois de plus elle le compare physiquement à lui. [color=darkred Jouer la comédie une seconde pour mieux l’appâter ..[/color] Un doux sourire s’étire sur les lèvres du garçon alors qu’il penche la tête sur le côté.
-Non mère, c’est Yui … ton fils, tu te souviens ? Il fait un pas vers elle, elle recule. Encore deux pas et elle se retrouve collée contre le mur, prisonnière. Son visage affiche une moue d’horreur, de dégout également.
Oui elle te déteste Il est satisfait de ce qu’il voit ainsi il n’aura aucun regret à faire ce qu’il va faire. Lentement il déploie sa main qui était dissimulée dans son dos. Cette main ferme qui tient un bâton, un bout de bois solide , plus gros et dur que celui de son enfance. Il le prit comme une batte de baseball et s’approcha encore d’elle. Linya ne crie pas mais elle est terrifiée. A-t-elle compris qu’elle va mourir ? Yui a toujours le sourire tandis qu’il lève l’arme au dessus de sa tête.
-Adieu mère Et le bois s’abat sur le corps trop petit et fragile de son unique lien, de ce qui lui resté comme famille. Le sang gicle, son
cœur bât plus fort. Des bouts de membres volent dans la pièce, son
corps tremble. Il change. Il devient un autre. Il est le monstre.
Il est le loup. There’s no turning back, we’re in this trap
No denying the facts, no, no, no
No excuses to give, I’m the one you’re with
We’ve no alternative, no, no, no
Vous vous demandez comment il a pu intégrer cette école si étrange ? Comment lui, le solitaire, peut s’accommoder d’être dans un lieu où ses semblables vivent ? Lors de ses 18 ans, alors qu’il avait déjà découvert son loup après le meurtre de sa mère, il découvrit un autre être particulier. Une sirène pour être exact alors qu’elle se prélassait sur les rives d’un lac. Bien sur, elle ne pourra témoigner, elle est morte maintenant.
Démembrée et dévorée. Mais avant de mourir elle lui avait révélé l’existence de ce lieu singulier. Quelle aubaine pour lui ! Un endroit où des proies, des possibles adversaires sont réunis ! Une chance de s’amuser un peu, de pimenter sa vie, de goûter de nouvelles saveurs ..
Préparez vous mes brebis, le grand méchant loup arrive ..