Je me réveillais chaque journées,
regardant la population.
ce spectacle sans intérêts
bercée par leurs pauvres illusions.

L’illusion qu'un jour leurs récits,
sera celui d'un compte de fée.
Hélas pauvres simples d'esprits,
ils ne servent qu'à espérer.

Mais un jour d'Aout,
j'apercu cette petite fille.
Stupéfaction et léger doute,
petite fleur parfum vanille.

Des lors le soleil n'était plus.
La lumière qui me plaisait tant,
celle que j'avais tant attendue.
Ton beau sourire étincelant.

Mais alors peur et angoisses,
rapidement me gagnèrent.
Grand vide et simple carcasse.
Pourquoi tout ceci m'exaspère ?

Égaré dans les ténèbres,
je ne pouvais qu'observer,
que cette horrible vision funèbre
et me mettre juste à chanter.

Mais tu étais tout près de moi,
simplement tout se dissipa.
Juste avec ton sourire à toi,
mes doutes partirent comme cela.

Chaleur et tendresse je sentis,
lorsque dans tes bras je me tenais.
Toi la simple raison de ma vie,
plus jamais je les quitteraient.

Aujourd'hui aussi je me leva.
Le sourire aux lèvres, enchanté.
Car je sais que tu sera là,
ma magnifique fleur parfumée.

Nous ne suivrons aucunes histoires,
aimons nous juste simplement
et laissons nos vie concevoir,
notre chemin aveuglement.

Et même si parfois tu demeure,
maladroite, je ferais en sorte,
que jamais jamais tu ne pleure,
alors continue de la sorte.

Ma bien aimée