CALL ME Invité Invité | Sujet: Omen Lovebird ~ A Bad Omen ? Dim 2 Oct - 19:23 | |
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Quelque chose qui bat, quelque chose qui se débat. Qui suis je ? Ce que vous voyez et rien de plus, absolument rien. | • NOM : Lovebird. • PRÉNOM : Omen. • ÂGE RÉEL / D'APPARENCE : 170 ans / autour de 25 ans. • DATE & LIEU DE NAISSANCE : 13 février 1855. • RACE : Vampire. • MAISON DÉSIRÉE : Adults – Infirmier. • NIVEAU : 3.
| “ Et qui un jour est allé ci et là. „ Du sang, de la rage, de la haine ; ou au contraire, des sourires, de la joie, des souvenirs ~ Quand vous demandez à un vampire de vous raconter son histoire, il vous dit souvent qu'il va commencer par « sa naissance au monde de la nuit ». Sa vie d'avant ne vous intéresse pas. Enfin, je parle là des vampires assez vieux pour avoir matière à vous raconter ses histoires. Moi, en tout cas, j'ai une bonne mémoire et des choses à dire, qui concernent mon moi vivant et mortel, alors je commencerai par le véritable début. Je suis né dans une petite maison bourgeoise du quartier londonien de Mayfair, en 1855, au beau milieu de la nuit. On ne m'attendait pas si tôt et ma naissance fut la cause de quelques complications, ma mère n'ayant échappé à la mort que par miracle. Enfin. Je n'ai jamais cru au miracle, c'est elle qui avait l'habitude de présenter les choses comme ça. Moi, je vais vous dire ce qui l'a sauvée : la médecine. C'est pour cette raison que, plus tard, je me suis lancé dans des études de médecine. Mais revenons au jour de ma naissance, car il y a une anecdote que j'aime toujours raconter. Mes parents avaient décidé de m'appeler Owen, et le médecin – qui n'était autre que notre voisin, que la bonne était allée réveiller en urgence – ne faisait pas exception à la règle qui veut que les médecins écrivent mal. Son W avait donc l'air à l'envers. Et un W à l'envers, c'est un M. Et Omen veut dire présage, ce que ma mère, naïve et superstitieuse, n'a pas pu s'empêcher de remarquer. Voilà comment elle a interprété la chose : Dieu l'avait sauvée, pour qu'elle s'occupe de moi, et m'avait donné le prénom d'Omen pour qu'elle comprenne son message – j'étais un bon présage, peut-être même destiné à de grandes choses.
J'allais à l'école de Westminster, pas loin de chez nous, et j'étais un excellent élève, rendant mes parents fiers et confiants. Mon père et notre voisin me voyaient déjà médecin, et c'est également ce que je voulais. J'étais aussi un amoureux des livres, pour parfaire le tableau. Lorsque j'ai eu dix ans, un livre pour enfants, parmi ceux qui ont le plus fait parler d'eux à travers les années, est paru : Alice's Adventures in Wonderland, de Lewis Carroll, dont vous avez tous entendu parler, et qui m'a fait basculer dans le monde de la littérature et de la fantaisie. Vers quinze ans, j'ai découvert la poésie et elle est devenue ma seconde passion. Byron, Keats, Shelley... Les romantiques alimentaient majoritairement ma bibliothèque. J'y suis resté fidèle jusqu'à aujourd'hui, ce qui n'a pas empêché mes goûts d'évoluer avec les époques – j'aime les bandes dessinées de toutes nationalités, par exemple, mais je n'ai jamais pu me faire à la musique électronique.
Quoiqu'il en soit, à l'époque, j'étais parfait. On voulait de moi dans les soirées mondaines, pour sourire aux convives, surtout aux femmes en quête d'interdit – et mon romantisme naturel ne pouvait que me servir, de même que mon charme, avec mes longs cheveux blonds et mes yeux bleus brillants. A coups de sourires et de poèmes improvisés, je m'amusais à séduire les veuves qui n'espéraient plus qu'un homme les regarde, les jeunes mariées qui devaient lutter contre leurs envies d'ailleurs, les jeunes demoiselles qui me regardaient de leurs yeux brillants d'admiration, qui espéraient toutes que je les épouserais lorsqu'elles en auraient l'âge. Avec les hommes et les étudiants, je débattais de sujets divers, je parlais de mon ambition. Mon avenir était assuré, mais ce que je cherchais, c'était la passion, l'aventure, et non la stabilité.
Entendant mon appel, la passion vint me trouver.
Je rentrais toujours du lycée à pieds, généralement en compagnie d'un camarade qui vivait dans la rue d'à côté, mais étant particulièrement studieux, il m'arrivait de rester plus tard pour étudier. Une de ces soirées-là, en décembre – il faisait donc nuit lorsque je quittai l'école – je remarquai une femme au coin d'une rue, sur le trottoir d'en face. Elle faisait doucement claquer ses talons sur le pavé, marchant avec lassitude, tournant quasiment en rond. Une prostituée, pensai-je immédiatement. Mais son visage était magnifique, d'un pâleur surnaturelle, ses vêtements plus luxueux que ceux des catins que j'avais déjà vues, et on en voyait très rarement dans le quartier de Mayfair. A vrai dire, je n'en avais même jamais vu là-bas. Les prostituée de luxe ne faisaient pas le trottoir. Mais sa façon de marcher, langoureuse, sur un mètre sur deux, ne m'évoquait que ça. Cette femme était un mystère. Cette fois-là, j'ai tracé mon chemin. Je l'ai revue plusieurs fois, mais aucun des mes camarades qui passaient par ce coin de rue ne l'avait jamais vue.
A dix huit ans, je partis à Cambridge pour étudier pour étudier la médecine. Aussi grand soit mon amour de la littérature, la médecine était ma vocation. J'oubliai la mystérieuse dame de Mayfair, pour un temps. Pour longtemps, à vrai dire. Tout le temps que durèrent mes études, ma vie sociale entre parenthèses pendant parfois plusieurs mois, mes recueils et mon carnet renfermant mes propres poèmes, au fond de mon armoire, que je ne ressortais que rarement. J'idolâtrais Arthur Rimbaud, qui n'avait qu'un an de plus que moi, et un certain complexe d'infériorité m'avait également fait renoncer à la poésie. Je m'oubliais un peu, cherchant une stabilité dont je ne voulais pourtant toujours pas, au fond. Peut-être aussi était-ce une solution de facilité, de ne plus penser à mes envies d'aventure et à cet idéalisme romantique.
Mais la passion vint me retrouver et me rappela qui j'étais.
La passion arriva un peu plus tôt, cette année-là, en robe d'automne. Les cheveux noirs et bouclés de ma Dame Mystère tombaient sur sa robe aux tons orangés et marrons. Elle tournoyait au milieu des feuilles tombantes, au crépuscule. Elle était un peu en retrait, à une vingtaine de mètres de l'entrée de la bibliothèque, mais je l'avais repérée immédiatement. Je crois que cette fois-ci, j'en suis aussitôt tombé amoureux. Elle n'avait pas franchement l'air saine d'esprit, mais sa beauté me submergeait. Elle semblait m'attendre, dansant, se penchant de gauche à droite, ramenant ses bras vers elle avec une grâce dont aucun vivant n'est capable. Un sourire flottait au coin de ses lèvres. Elle m'avait ensorcelé. Je m'approchai d'elle, hésitant mais fasciné, ne me demandant même pas quel hasard l'avait conduite de nouveau jusqu'à moi.
— Omen Lovebird. Quel drôle de nom pour un si bel homme. Omen Lovebird. Comment connaissait-elle mon nom ? Elle rit et me dit de l'appeler Lizzie.
Ce fut peut-être un grave erreur. Mais je ne peux pas regretter notre passion, lorsque j'y repense. Je la vis régulièrement cette année-là, elle s'absentait parfois un mois et me revenait. Elle ne me dit jamais son vrai nom, jusqu'au jour où elle se dévoila entièrement. Elle m'avait précédé dans ma chambre et m'attendait nue sur mon lit. Je restai planté devant elle, bouche entrouverte, yeux gourmands. Elle me sourit et me fit signe de venir vers elle, ce que je fis sans vraiment m'en rendre compte, m'asseyant sur le lit. Elle m'entoura de ses bras et me glissa quelques mots à l'oreille : « Je suis Elizabeth Westcombe. J'ai deux-cents ans de plus que toi, j'espère que ça ne te dérange pas. » Je voyais bien qu'elle était plus âgée, peut-être avait-elle trente ans, mais ça ne me dérangea pas, non. Après l'amour, elle se blottit contre moi, me couvrant de ses cheveux, et plongea ses lèvres au creux de mon cou. Du moins, c'est ce qu'elle sembla faire. Mais ce sont ses canines, plus précisément, qu'elle enfonça dans la peau de mon cou, avant de me vider presque totalement de mon sang. Elle se mordit les lèvres à sang avant de m'embrasser, puis saisit un canif qu'elle avait caché sous mon oreiller pour s'entailler le poignet et me faire boire son sang. Tout cela, bien sûr, m’apparut très vaguement : j'étais au seuil de la mort.
Lorsque je me réveillai, j'étais un autre. Je me sentais moi. Je me sentais fort – bien qu'affamé – et mon envie d'aventure ne m'avait jamais paru aussi accessible. Je vous passerai les descriptions du quotidien. Je partis courir le monde avec Lizzie, oubliant ma famille, mon métier, mes attaches. Chasser nos proies était un véritable jeu, nous étions deux tourtereaux, nous découvrions le monde et nos possibilités.
Du moins, c'était vrai pour moi. Lizzie, elle, jouait avec moi. Elle m'avait choisi bien avant que je ne la remarque, ce soir de décembre, et elle m'avait longuement observé avant de décider quoi faire de moi – on peut prendre son temps, quand on a l'éternité. Je n'étais pas le premier.
— Tu es le premier, m'avait-elle glissé. Tu es le premier à qui je fais le don ténébreux, le premier avec qui j'accepterai de passer toute mon éternité.
Et ce n'était pas la première fois qu'elle tenait ce discours.
Moi, j'étais amoureux d'elle. J'avais changé, j'étais devenu plus bestial. Moi dont la vocation avait été de sauver des vies, j'en prenais sans aucun remord. Mais j'étais toujours sensible. Sensible à elle, particulièrement. Corps et âme, je lui appartenais. Jamais je ne me serai lassé d'elle. Mais Lizzie était une petite capricieuse. Au bout de sept ans à mes côtés, elle disparut. Ma vie, alors, consista à la chercher partout, pendant environ deux ans, ce qui, à l'époque, me paraissait encore plutôt long. C'est elle qui me retrouva.
J'étais retourné à Londres. J'avais rendu visite à mes parents, inventant une histoire de voyage à l'étranger, où j'étais finalement resté pour aider les habitants d'une région pauvre, et d'une lettre perdue, pour expliquer ma disparition. Malgré leur air perplexe, il m'accueillirent à bras ouverts. J'étais devenu médecin, après tout (c'était à peu près vrai, j'avais un diplôme de Cambridge). Je pris un appartement, bien que pas décidé à m'établir à Londres, car je cherchais encore Lizzie. J'avais de l'argent de côté et je devins le médecin des amis et de la famille, sans encore avoir de cabinet. Je subsistais.
Lizzie me suivit silencieusement alors que je rentrai d'une soirée mondaine, où j'étais allé me nourrir à la source d'une de ces pucelles qui avait tant voulu de moi dans sa jeunesse, et qui s'était retrouvée mariée à un homme bedonnant et moustachu. Oh, elle n'était plus pucelle, elle n'hésita pas à me le montrer. Elle voulait de moi, alors je la pris, et je pris aussi sa vie. Lizzie, comme appelée par ma première infidélité, m'avait donc suivi. Je ne m'en rendis compte qu'après un moment, elle était plus douée que moi à ce jeu-là. Je me retournai subitement pour lui faire face, mais elle était cachée dans la pénombre.
— Omen Lovebird. Ma petite erreur.
Elle vint face à moi, se mouvant étrangement, dansant presque, comme elle savait si bien faire. Je ne savais pas quoi lui dire, ni quoi faire. J'étais toujours fou d'elle. Mais que voulait-elle dire ?
— Omen. Ton prénom est une erreur. Et ton nom est une erreur. Lovebird. Comment peux-tu être inséparable au singulier ? Nous étions des amoureux, des tourtereaux, des inséparables, et te revoilà tout seul, Lovebird... Pauvre petite erreur.
Son rire innocent, la voix anormalement aigüe qu'elle avait prise, me mirent hors de moi. Je n'avais pas besoin de plus d'explication. Je sentais une deuxième présence. Son amant éternel, celui qu'elle avait prétendument quitté pour moi, puis pour qui elle m'avait quitté, définitivement. Rien n'était vrai. Aucun de ses sentiments. Elle avait juste joué, pimenté le quotidien bicentenaire de son couple.
Plus tard, alors qu'ils étaient partis bras dessus, bras dessous, en riant de bon cœur, je partis déambuler dans Londres. Je ne sais pas ce que je cherchais. Je n'avais pas faim, j'évitais de tuer pour un rien, mais j'étais tellement en colère... A Whitechapel, une prostituée aux longs cheveux noirs et bouclés m'aguicha. Une piètre copie de Lizzie... Je la suivis, et ma rage prit le dessus.
Nous étions en 1888, Jack L’Éventreur commença à faire parler de lui. D'elle. D'eux. On ne l'a jamais su. J'ai pris part à la légende, mais je vous assure, je n'ai dérapé que cette fois-là, dans toute cette histoire.
Ce crime sanguinaire, violent, m'apparut comme tel : un crime. Ce n'était pas comme tous les autres, que j'avais tués pour subsister. J'avais même régulièrement fait en sorte de ne tuer que des malfrats — et des prostituées, soit, mais jamais je n'avais joué au chirurgien sur leurs corps, jusque là.
Évidemment, je ne me rendis pas à la police. Ma morale reprit le contrôle, mais pas la bêtise. Je me condamnai seulement à me nourrir du sang des animaux et des mourants, à errer de ville en ville, peut-être même à rendre service. Je fis une croix définitive sur ma famille et sur Londres. Quinze ans plus tard, j'allais mieux, alors j'ouvris mon cabinet, à New York. Je vivais tranquillement, j'avais des mourants à portée de main. Je passais beaucoup de temps dans les cabarets mais j'évitais les prostituées. Je revis Lizzie au bout de six ans là-bas, au bras d'un jeune vampire, une nouvelle victime, telle que je l'avais été. Elle m'ignora, mais le lendemain soir, elle avait trouvé mon appartement et m'attendait devant la porte. Je lui fis un de mes sourires les plus charmeur et refusai de l'y inviter, la laissant plantée là. J'étais guéri.
Je repris une vie plus intéressante, moins honnête peut-être. Je n'avais plus besoin de me punir — j'étais un vampire, après tout. Je courrais les villes et les jupons, j'explorais de nouveaux horizons, m'imprégnais de mon époque. Je m'engageai clandestinement dans l'armée pendant la Première Guerre Mondiale, aux côtés du Royaume-Uni, histoire de me racheter pour de bon — j'avais encore des rechutes — et parce que je me sentais concerné. En plein jour, cependant, ce n'était pas toujours la joie, alors j'ai, en quelque sorte, déserté. Au XXème siècle, les temps étaient durs, puis c'étaient les années folles, puis c'était encore dur. J'avais du mal à suivre, alors je devins égocentrique. J'appris à me mêler à différentes couches de population, avec une préférence pour les riches, ils sont pratiques. Je ne pouvais plus travailler, ne comprenant rien à l'administration moderne — et surtout omniprésente. Mon diplôme de Cambridge façon XIXème ne le fait plus, en tout cas.
Avec le temps, je retrouvais de mon ancien moi, mêlé au moi immortel et quelque peu immoral. Je suis donc un romantique en quête de passion et d'aventure, un littéraire, un poète, un scientifique, un coureur de jupons (et de pantalons), un tueur que je le veuille ou non, un séducteur, un homme gentil, aimable, souriant, à l'écoute, raffiné, et puis un dépravé... Je suis un ramassis de qualités et de défauts, parfois contradictoires, comme n'importe quel être humain, mais à un niveau supérieur et peut-être plus changeant. Mais ce n'est pas vraiment ma faute, on ne m'a pas demandé mon avis, et je fais de mon mieux. J'essaie de ne pas boire de sang humain, mais imaginez-vous, avoir le choix entre Nutella ou pâte à tartiner bon marché... Vous craqueriez. En tout cas, c'est ce qu'on m'a dit. Je n'y ai jamais goûté.
Je vais faire une ellipse sur la fin. Je voulais surtout vous parler de Lizzie, et de l'époque où j'étais mortel. Oui, il m'arrive souvent d'avoir la nostalgie de ces périodes-là. Mais je ne veux pas mourir pour autant, être un vampire n'est pas si mal. Donc, après tout ça... Quelques années ont passé, il y a eu quelques problèmes avec des monstres, dont des vampires — il y en a des pires que moi, et beaucoup de fantasmes sur des vampires invraisemblables et très comiques, également. Ils ont fait un pensionnat pour les monstres, pour éviter ça. Qui « Ils » ? Hum... Des gens qui s'occupent des monstres, quelque chose comme ça. Ils l'ont créé au Japon, je ne connais pas beaucoup, mais pourquoi pas ? J'y suis allé, parce qu'ils auraient sûrement besoin d'employés et que j'avais justement envie d'avoir un travail. Je me suis dis qu'ils comprendraient que je n'ai pas de papiers, pour une fois, et qu'ils pardonneraient mon excentricité. Je suis donc allé proposer mes services d'infirmier au pensionnat de The Other Side, vieux diplôme en poche et sourire aimable aux lèvres.
“ Particulier, même moi je le suis. „ Les petites choses qui nous rendent différents !
- Il aime qu'on l'appelle Lovebird et autres variantes de son nom.
- Il aime le rock, surtout en concert, quand tout le monde se colle (pervert spotted).
- Il joue de la guitare et du piano. Il a eu assez de temps pour devenir doué, mais c'était loin d'être inné. Il s'y est mis pour faire du charme, quand la poésie est devenue démodée ou qu'il n'y arrivait plus, ça a toujours marché, ça marchera toujours. Le violon, par contre, il n'y arrive pas, et la batterie non plus — oui, il a essayé, pour faire raffiné et viril à la fois, mais non.
- Il a un style vestimentaire parfois très vampiresque, il aime les vêtements de sa jeunesse, les froufrous et le velours, et le style dandy. D'autre fois, il est habillé tout à fait normalement, même avec des touches rock, pour plaire aux jeunes, tavu. (oui, je sors... Ah non, c'ma fiche 8D)
- Il n'a plus besoin de lunettes depuis qu'il est vampire, mais il trouve que ça lui va bien et en porte parfois quand même.
- Vous l'aurez compris, il est légèrement superficiel, également narcissique, mais il faut dire qu'il est aussi réellement séduisant.
- Depuis son histoire avec Lizzie, il évite les relations suivies, surtout avec les femmes dont il se méfie plus.
- Il se qualifie lui-même d'instable. Il a peur de ce dont il est capable et essaie de ressembler à ce qu'il était de son vivant plutôt qu'au vampire sanguinaire qu'il a pu être — en gros, c'est un peu comme Spike, dans Buffy, qui veut/va récupérer son âme, se met à avoir des regrets et tout ça. Sauf qu'ici ça marche pas tout à fait.
- Il n'a aucun scrupule à aguicher des élèves – pas trop jeunes quand même, hein ! Mais il n'est pas assez cruel pour leur faire du mal – sauf s'ils le méritent.
“ Qui est derrière l'écran ? „ Montrez-vous, on ne mord pas, enfin pas tous.
| • PRÉNOM / PSEUDO : Kenny. • ÂGE : 19. • VOTRE AVATAR : France, de Hetalia. • COMMENT AVEZ VOUS CONNU TOS ? : Par Nynh ♥ • CODE DU RÉGLEMENT : OK par Erin :3 • SUGGESTIONS ? : /
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Dernière édition par Omen Lovebird le Mer 12 Oct - 21:47, édité 4 fois |
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