| THE INCREDIBLE STAFF They will always be there for u♥
Si vous avez une question, une suggestion ou quelconque autre problème vous pouvez envoyer un petit mp au Staff! Attention certains mordent ♥
© Design #6 par Erin McCarley, optimisé sous Firefox. | BACKGROUNDIt's the end when I beginDans cet établissement pas de discrimination, tout le monde demeure sur un pied d’égalité : vampires, humains, loup-garous, succubes et autres créatures. Pour ce faire il est naturellement obligatoire de conserver une forme humaine. Marre du monde des humains où vous vous sentez à l’étroit, mal à l’aise ? Il vous manque simplement la liberté. Le pensionnat est là pour vous. Nous saurons vous trouver où que vous soyez et qui que vous soyez.Cependant derrière tout ces aspects d’égalité et de liberté les plans se trament et la tentation de hausser sa race en influence au sein de l’établissement apparaît. Les tensions montent secrètement et lentement entre les différents individus et l’odeur âpre de la confrontation entre celles-ci commence à ce faire sentir. Sous des airs angéliques vos voisins de table peuvent très bien vous haïr. Tout n’est que voile et mensonge. Maintenant à vous de faire votre entrée, qui que vous soyez, quoi que vous soyez. Continuerez vous le jeu malsain qui se joue dans l’établissement ou vous dresserez vous contre celui-ci en faisant éclater la vérité au grand jour ? Saurez vous passer « de l’autre coté » ? |
|
|
|
|
| Once upon a time, a fool and a temptress, in the dark forest, under the moon. [ PV Aysha ] | |
| Auteur | Message |
---|
CALL ME Invité Invité | Sujet: Once upon a time, a fool and a temptress, in the dark forest, under the moon. [ PV Aysha ] Lun 15 Aoû - 20:31 | |
|
It's a great illusion One never knows When you think you're really alone Feel the eyes of someone looking in on you ▬ Ce monde est pourri. Un monde pourri où les pourris règnent en toute liberté. Ces foutus parasites que j'ai envie d'étrangler. Ces enfoirés que je veux démembrer. Mais, dans le fond, je ne peux rien y faire, parce que je n'ai pas les tripes nécessaires. Juste me laisser guider par la colère, jusqu'au jour où je rencontrerais quelqu'un aussi égoïste que mon père. Doucement, ses paupières s'ouvrent. Doucement, son corps se réveille. Doucement, il constate dans quel état il se trouvait. Allongé, tête posée sur l'herbe, joue contre terre. Son regard détaillait les alentours, apparemment, il se trouvait dans un fossé. La nuit se dévoilait peu à peu, sans doute devait-il être presque l'heure de dîner. Il ne s'étonne même pas d'être ici, mais le pourquoi de sa présence ici semble le préoccuper d'avantage. L'idée de bouger, lui vient enfin en tête, mais son bras gauche semble être bien amoché. Le droit fut donc dans l'obligation d'agir à la place de son contraire pour qu'il puisse avoir une position plus confortable et enfin, à fixer le ciel qui commençait à être étoilé et les alentours de cet endroit. Respiration courte, chaude et difficile. Muscles engourdis, affaiblis et fébriles. Le moindre mouvement lui faisait mal, même le plus futile, comme celui de replier un genou. Tout lui indiquait que sa maladresse l'a encore causé du tort et que son corps ne s'est pas encore remis de la chute. Sa vue n'était pas très précise pour le moment, encore floue à une certaine distance, mais il pouvait apercevoir le trajet qui l'a mené jusqu'ici. Derrière quelques arbres et autres feuillages. Quelques images lui revient enfin, mais rien qui pourrait l'aider à savoir le pourquoi de sa situation actuelle.
Au fait, ça fait longtemps qu'il est dans cet état ? C'est vrai ça, depuis combien de temps était-il inconscient ? Vingt ? Vingt-cinq minutes ? Ayant pour seule compagnie, le silence et le calme de la forêt ? La peur de rencontrer un animal sauvage ou affamé, ne l'effrayait pas ? De toute évidence, il semble rester fidèle à lui-même. Insouciant et paresseux. Est-ce qu'il est conscient, que sa chemise est déchirée et qu'on voit quelques bouts de tissu blanc, sur les buissons qu'il voyait d'ici ? Est-ce qu'il est conscient, que son pantalon est marqué par la terre, ayant des traces à divers endroits ? Est-ce qu'il est conscient, que son bras gauche a heurté un rocher de plein fouet, par conséquent, il va devoir aller à l'infirmerie ? Est-ce qu'il est conscient, qu'il a les fesses, les jambes dans l'eau du fossé et qu'il risque d'attraper un coup de froid, vu que la nuit tombait ? Non, bien sûr que non. Il s'en moque, il ignore ces détails. Le calme de la nature l'apaisait et aussi il venait de trouver quelque chose qui attire tout particulièrement son attention et qui ne devrait même pas se trouver ici, vu l'environnement. Une fleur de cerisier. Cette fleur a dû te suivre jusqu'ici. Sans attendre, la tige de cette fleur se trouvait déjà dans sa main, afin de la ramener vers lui. Plus il l'a fixait, plus sa mémoire revenait. Quelques passages seulement, malheureusement, mais assez pour qu'il sache comment il a atterri ici. C'est pour cette fleur qu'il se retrouve dans cet état de faiblesse indigne de son image. Lui qui a toujours été considéré comme un roc solide et robuste. Dieu a offert, à l'idiot qu'il est, un corps qui a su encaisser bon nombres de choses, bon nombres de coups et autres dommages physiques qu'il a toujours ignoré auparavant et qu'il continue toujours, même maintenant. Cependant, il ne pouvait pas se fier à sa mémoire, ce n'est pas seulement pour la fleur qu'il est allé aussi loin. Non, c'est sans doute pour cette voix.
Cette voix que tu entends à peine, mais suffisamment assez pour distinguer qu'elle t'appelait. Kaito ! Kaito !!, cette voix qui l'incite à se lever. Cette même voix qui force son corps à se réveiller pour qu'il puisse retourner sur un chemin stable et qui l'aide a oublier la douleur qu'il ressentait à son bras gauche. Il faut y aller, il ne faut pas traîner sinon cette voix risque de s'éloigner d'avantage. Si il entend son prénom, c'est qu'on a besoin de lui. Si il entend son prénom, c'est qu'on veut qu'il soit présent. La fleur, il ne l'abandonne pas, la tige se trouve entre ses lèvres, tandis que la seule main, qu'il pouvait utiliser, l'aidait à remonter. Ses jambes flanchaient, le chemin était assez glissant, seules les branches d'arbres, moyennement hautes, étaient d'une quelconque utilité. Mais cela ne change en rien le fait que ce n'était pas facile.
Vers la fin, il pouvait apercevoir une silhouette. Une silhouette fine et élancée, qui semblait le fixer de là où elle se trouvait. Kaito ! . Il ne pouvait la voir distinctement, à cause de la pénombre et de la distance qui les séparait. Mais encore un effort et il pourra enfin la regarder en face. Celle dont sa mémoire semble rejeter, malgré ses tentatives de s'en rappeler. Un pas, deux pas, trois pas. Un dernier effort et enfin, il se hissa à sa hauteur. Aidé de sa main droite, la gauche étant hors service, du moins temporairement. Un instant, le temps de reprendre son souffle. Un instant, le temps de se souvenir enfin de cette jeune femme. ▬ ... C-C'est pour toi... Je crois. Enfin, la lueur de la lune montante éclairait son visage. Enfin, il pouvait donner un visage à cette voix. Enfin, il pouvait la voir de façon détaillée. Ses cheveux châtain, en cascade, s'arrêtant à ses épaules qui semblent frêles. Ses yeux verts, première chose qu'il a sans doute remarqué et par ailleurs, il est déjà charmé. Son visage arrondie, qui lui donnait un semblant air de poupée. Elle n'était pas bien grande, elle devait lui arriver aux épaules, et encore. Ses traits fins et bien Le seul inconvénient était son expression qui reflétait l'inquiétude. Avait-elle peur ? Peur pour elle ? Peur pour lui ? Il n'en savait rien, la première option est peut-être bonne. Si tel est le cas, alors il lui sourit. Un sourire léger, maladroit, qu'il n'avait pas l'habitude de faire. ▬ Elle... Elle te va bien... C-comme ça. Le lys, la fleur qu'il avait entre les dents, qu'il a retiré pour pouvoir parler et enfin, la faufiler sur l'oreille de la jeune femme. C'est vrai qu'elle était encore plus jolie, avec cette décoration simple. N'est-ce pas pour elle, qu'il est partit la chercher ? Sûrement, certainement. Pourquoi est-ce que sa main s'autorise à toucher sa joue ? Pour vérifier si sa peau était douce ? C'est ça, douce et chaude. Alors que la main du grand blond était sale et froide. Il ne devrait pas la toucher, ça va la salir et son physique ne pouvait pas se permettre d'être souillé de la sorte. Il l'a retiré, brusquement, afin de se tenir l'épaule gauche. ▬ On ferait mieux de rentrer. La nuit... Est déjà là, en fait. Avec tout ça, il perdit la notion du temps, alors il ne tarda pas à ouvrir la marche, en direction de la possible sortie de cette forêt. Il fut bien trop envoûté par sa simple présence. Mais quelque chose lui disait de ne pas trop rester là, à la regarder. Une sale sensation, un sale pressentiment. L'idiot qu'il est se demande encore pourquoi. Ca risque d'être difficile de questionner son coeur, en même temps, il semble être le seul à pouvoir répondre, pourtant. ▬ Dit-moi... Qu'est-ce que je suis, pour toi ? Oui, sublime étrangère. Toi qui hante les mers, détail qu'il ne s'en rappelle guère. Aide-le à se souvenir de toi, cet imbécile blond qui fait mine de te connaître, alors qu'il a oublié ton nom. La chute fut difficile et rude. La question pourrait la surprendre, mais qu'importe. Il était trop dans le brouillard pour prendre ses aises avec elle, bien que l'atmosphère qu'elle dégageait, semble le détendre. Le détendre à un point qu'il désire l'avoir dans ses bras et de goûter à ses lèvres. Si seulement il n'était pas dans un sale état. Si seulement ses vêtements n'étaient pas déchirés de partout. ▬ ... Mais tu n'es pas obligées d'y répondre, cela dit. Mais réponds-moi quand même, s'il te plaît.
Dernière édition par Kaito C. Ryûzoji le Sam 8 Oct - 19:47, édité 4 fois |
| | | CALL ME Invité Invité | Sujet: Re: Once upon a time, a fool and a temptress, in the dark forest, under the moon. [ PV Aysha ] Sam 20 Aoû - 7:45 | |
|
Cette promenade en forêt n'était peut être pas la meilleure idée que nous ayons pu avoir. Premièrement, je n'aimais pas les forêt car cet élément n'était pas celui que je préférais et encore moins celui où j'étais à l'aise. Deuxièmement parce que c'est toujours humide une forêt et c'est vraiment pas bon pour la respiration. Et enfin, dans cette forêt, comme d'habitude j'avais fais ma capricieuse et je pense que c'est à cause de ce caprice que nous nous sommes retrouvés dans une telle situation. C'est simple, j'étais complètement paniquée mais vous savez, à la vue de ce lys je n'ai pas pu m'empêcher de l'exiger, après tout, la plus belle des fleurs devrait appartenir à la plus belle des créatures non ? C'était ce que je pensais en tout cas et Kaito, oh Kaito il était tellement adorable qu'il avait bien voulut m'aider pour me l'offrir. Après tout c'était un grand et beau jeune homme et je ne vais pas nier le fait que sa plastique autant que son caractère me plaisent énormément. On ne se connait pas énormément mais j'appréciais passer du temps en sa compagnie, il cédait aux moindres de mes envies et souvent il arrivait à me combler parfaitement. C'était en soi, une bonne compagnie. Mais là, par ma faute il était tombé. Ce n'était pas une petite chute de rien du tout non, c'était une chute assez violente et tout ceci s'était passé si vite que j'eus besoin de quelques minutes avant de vraiment me rendre compte qu'il n'était plus là mais qu'il était présent quelques mètres plus bas. Enfin ce n'était pas non plus très haut vous savez, mais c'était assez pour lui taper un bon coup sur le crâne. Un choc pareil, je ne m'en serais pas remise personnellement.
Avançant maladroitement parmi les branchages en gardant mes bras en balanciers afin de ne pas perdre l'équilibre, je me rapprochais du bord afin de voir s'il n'avait pas trop de mal. J'avais bien fait de m'habiller convenablement pour une fois c'est à dire que j'avais mis un jean moulant qui descendait en slim jusqu'à mes chevilles et un petit débardeur blanc avec par dessus une veste courte en imitation cuir. C'était une tenue plus appropriée pour sortir se balader en forêt que mes petites robes courtes. Sinon je crois que mes jambettes seraient griffées depuis longtemps. Et là, près du bord, je le voyais, son état n'était pas le meilleur d'après ce que je pouvais constater, oh non il ne semblait pas vraiment en forme et là la panique me pénétra. -Et je peux vous dire que c'est la première chose qui m'aie pénétré de toute ma vie, si si je vous assure !- Je l'observais, en me mordant la lèvre, gardant le silence quelques instants pour analyser ce qui se passait. Était il en vie ? Avait-il mal ? Où ? Trois questions qui tournaient sans cesse dans ma tête jusqu'à ce que je puisse le voir bouger un tantinet. Au moins, il était en vie, je ne savais pas si on espèce pouvait perdre la vie aussi rapidement mais je pense que personne ne serait tombé dans ce ravin sans avoir mal. Alors là, je l'appelais, je répétais son nom sans cesse en espérant une réponse.
La fleur, il avait ramassé la fleur, elle était là, entre ses lèvres. Et lui, après quelques longues minutes il se décida à bouger pour remonter lentement mais surement vers moi. Moi, je tremblais, quelques larmes avaient coulé sur les joues car j'avais eus peur, très peur. Je n'avais pas envie qu'il meurt sous mes yeux, je n'avais pas envie qu'il souffre comme il devait souffrir. Pourtant, une autre part de mon esprit était heureuse, il remontait maintenant, et j'aurais ma fleur, ma convoitise. La plus belle des fleurs pour la plus belle des créatures. Je serais donc la meilleure et la plus belle encore plus longtemps. C'était une évidence pour tout le monde de toute façon. De ce côté là je n'avais aucun problèmes. Le temps avait passé, et il se tenait, là près de moi. Je ne bougeais plus, je l'observais, les lèvres légèrement entre-ouvertes. C'était quelque chose de dingue, d'inimaginable et en plus de ça, la fleur était déjà placée dans mes cheveux. Il savait, il savait comment me plaire. Si j'avais écouté mes pulsions à cet instant précis, je lui aurais sauté au cou pour l'embrasser mais cette impulsion nous aurait certainement fait tomber tous les deux à nouveau dans le ravin. A la place je lui souriais, et je lui pris la main comme pour le rassurer, ou me rassurer moi même. J'avançais lentement vers un arbre, et je le guidais afin qui aille s'asseoir près de celui ci, pas longtemps après, je vins m'asseoir aussi près de lui et je lui caressais la joue, essuyant un peu la terre qu'il avait sur le visage. J'avais eus tellement peur sur le coup que maintenant, encore sous le choc je n'avais prononcé aucun mots depuis qu'il était revenu. Il faudrait pourtant que je sorte de mon mutisme.
« Merci... Pour la fleur. »
C'est tout ce que je savais dire pour l'instant, j'attendais que mon rythme cardiaque ralentisse, j'attendais que ma respiration se fasse moins bruyante. Kaito était là, en vie. Kaito oh Kaito... Tu étais là et j'avais encore du mal à réaliser. Je soupirais, en réalité, je cherchais encore une réponse à la question qu'il m'avait posé. Pourquoi cette question au juste ? C'est comme si il ne semblait pas se souvenir de qui j'étais et le pire c'est que je ne saurais pas mettre un mot sur notre relation, j'avais peur encore une fois, mais peur de la réponse qu'il espérait obtenir. Je pinçais un peu les lèvres, et je posais une main sur son torse, sa chemise était déchirée, trop déchirée. Résultat de la chute je pense.
« Et bien... Je pense que... Nous sommes des amis, très intimes. Quelque chose comme ça, pourquoi cette question ? »
Qu'attendais tu de moi Kaito ? Que cherchais tu ? Il était important pour moi, c'était certain, mais il était aussi juste un de mes multiples prétendant. Qu'aurait-il de différent des autres ? Je ne pouvais pas répondre à ces questions mais je savais déjà, je savais qu'il était différent. La façon dont mon cœur avait battu lorsqu'il était tombé, cela ne serait pas arrivé avec un autre. Comment j'avais retenu mon souffle, comment j'avais espéré qu'il se relève tout de suite, et la longue attente, vingt minutes à l'appeler, à espérer, a attendre... Il n'y avait qu'avec lui que ce serait arrivé et non avec un autre. En cet instant, tous les autres ne comptaient plus, il n'y avait eut que Kaito et personne d'autre bien évidemment.
« Reposons nous un peu ici... Avant de rentrer, s'il te plait. »
Reste au près de moi. |
| | | CALL ME Invité Invité | Sujet: Re: Once upon a time, a fool and a temptress, in the dark forest, under the moon. [ PV Aysha ] Mar 30 Aoû - 8:57 | |
|
Ca fait mal. Sa tête lui faisait mal, il avait l'impression qu'elle allait tomber d'un instant à un autre. Sans doute a-t-il heurté quelque chose dans sa chute, sans doute. Mais il refusait de s'arrêter pour un simple mal de crâne. Ils étaient dans une forêt, la nuit les accompagnait et l'obscurité régnait. Qui sait ce qui se trouvait derrière un buisson ou un arbre. C'est typiquement le genre d'endroit qui ne faut pas fréquenter le soir et accessoirement, c'est à cause de lui si ils sont encore là. Il s'est donc mis en tête de la sortir d'ici, le plus rapidement possible. Loup-garou ? Vampire ? Banshee ? Furie ? Harpie ? Quelle créature de la nuit pouvait bien surgir et les attaquer ? Oh, non, il n'avait pas peur, du moins, pas pour lui. Pour elle, c'est autre chose. Se défendre, c'est facile, tout le monde peut se défendre. Mais se défendre et défendre quelqu'un d'autre, ce n'est pas la même chose, n'est-ce pas ?
En même temps, sa paranoïa n'arrangeait rien. [justify]Malgré le fait qu'il soit grand, costaud et imposant, il a toujours été prudent. Prudence est mère de sûreté, du moins avec autrui, pas avec lui. Lui, il s'en fiche. Après les coups, les chutes et autres "accidents" qu'il a traversé auparavant, on ne peut pas dire qu'il prend soin de lui, mais les autres, oui. Actuellement, la présence de la jeune fille l'aidait à se calmer, à ne pas stresser à l'éventuelle idée qu'on pourrait les agresser. Non, là, il était plutôt préoccupé par elle. Merci... Pour la fleur., avait-elle prononcé, au début. C'est fou ce que sa voix semble douce à ses oreilles. Qui plus est, ce semble de gêne lui allait bien, mine de rien.
Et bien... Je pense que... Nous sommes des amis, très intimes. Quelque chose comme ça, pourquoi cette question ? fut sa réponse, lui qui se demandait si oui ou non, il pouvait se permettre d'être plus familier avec elle. Après tout, cette sensation agréable et apaisante le détendait trop, peut-être même beaucoup trop. Il ne voulait pas la repousser, il ne voulait pas l'éloigner et encore moins la rejeter. Seulement l'enlacer et la garder à ses côtés. Il se retient encore un peu. Puisqu'il n'était pas vraiment en état pour garder une fille dans ses bras. Qui plus est, ses vêtements ne l'aidaient pas. La boue, la terre et traces de feuillages. Chemise déchirée, coupée au niveau des épaules et jean troué au genou droit. Il ressemble plus à un clochard qu'autre chose.
Vivement qu'ils rentrent pour prendre une douche. C'est ce qu'il a pensé et cela l'obligeait à ne pas penser à son mal de tête. Parce que, à présent, ils n'étaient plus sur le chemin du retour, mais contre un arbre. Reposons nous un peu ici... Avant de rentrer, s'il te plait. La douche attendra, si elle voulait qu'on s'arrête là, il s'arrêtera. De toute façon, elle l'a demandé d'une façon adorable et c'était loin d'être un ordre. Le jeune blond n'était pas le genre a s'opposer aux autres, tant que ça ne le dérangeait pas, tant que ça ne l'humiliait pas et surtout, tant que ça ne le foutait pas dans la merde. Là, il s'agissait seulement de prendre un peu de repos. Vue la façon dont elle semblait s'inquiéter pour lui, il devait être plus qu'un simple ami intime. Tu n'aurais pas craqué pour lui, Aysha ? Tiens donc, c'est donc ça, son prénom. Sur le coup, il ne l'a pas remarqué, mais ça l'a tilté à partir de l'instant où il pouvait enfin donner un nom à son visage.
Peut-être que la mémoire revenait, doucement. Avec le temps, petit à petit, dans le silence. Après avoir donné son accord concernant cette courte pause. Il arrivait à se souvenir d'elle, ça sonnait comme une évidence. Ô Aysha, magnifique Aysha. Dommage que la nuit l'empêche de te contempler comme tu le mérites. Étrange qu'une simple fille lui fasse autant d'effets. Après tout, il n'était pas dans un endroit où les humains dominaient en nombre, il se peut qu'elle ne soit pas humaine, finalement. Réfléchit donc, pense. Demande-toi à quelle race elle pourrait correspondre. Une race dont seule la présence charmait, dont la voix t'hypnotisait. Nymphe ? Non, ça se pourrait, mais non. Les nymphes sont connues pour leur plaisance dans la nature, elle ne semble pas être tranquille, donc elle n'était pas dans son élément. Pourquoi n'était-il pas surpris à la simple hypothèse qu'elle pourrait être une sirène ?
C'est ce qu'elle est, sans doute. Ce petit bout de femme qui se trouve à ses côtés, qui semble, peu à peu, à se laisser aller en sa compagnie. Était-elle aussi confiante ou lui faisait-elle confiance ? Il ne saurait pas répondre, même si sa cervelle commence à rassembler quelques morceaux, il ne pouvait pas dire si oui ou non, il ne lui avait rien fait. Poser la question serait trop ridicule, elle semble le connaître, c'est donc qu'ils se connaissent, logique. Dans tout les cas, qu'est-ce qu'il aimait la regarder. Avec une expression neutre, l'air de rien, comme si c'était normal de l'observer ainsi, avec attention. Il avait envie de passer son bras autour de sa taille, mais il allait la salir et elle semble être le genre à faire attention à son esthétisme et lui, il était loin, très loin, d'être esthétique. Pour s'arranger un peu, il s'arracha un bout de manche pour l'utiliser comme mouchoir et essuyer ses joues, pour retirer la terre qui se trouvait dessus, et avoir un semblant de propreté. ▬ ... J'ai juste l'air stupide, comparé à toi. Et un peu plus, à présent.
L'ayant dit sous le ton de la plaisanterie, montrant son bout de chemise sale pour le jeter un peu plus loin d'eux. Qu'est-ce que c'était calme, un peu trop même. Ah non, un seul bruit persiste à se faire entendre dans ce silence. Les battements de son cœur. Toujours et encore la même question; pourquoi ? C'est par rapport à elle, c'est sûr, ou bien à cause de l'environnement. C'est vrai que c'est nostalgique, d'être ici.
Mais un truc lui travaille l'esprit, et ça même si ça va paraître niais, stupide et sans intérêt. MAIS EST-CE QU'IL PEUT LUI PRENDRE LA MAIN OUI OU NON ? Aussi, elle a dit qu'ils étaient amis intimes. Mais ça veut dire qu'ils ont déjà eu des contacts physiques, c'est ça. Donc un simple contact avec sa main, ne coûte rien. N'est-ce pas ? Pourquoi est-ce qu'il hésite, dans ce cas ? Non mieux, pourquoi est-ce qu'il réagit comme ça ? Ça en devient ridicule. Allez, beau blond, prend sa main. Ignore le simple détail de la saleté, ce n'est rien, ce n'est pas grand chose. ▬ ... Euhm. Par amis intimes, tu veux dire qu'on a déjà couché ensemble ou... ?
Ah, mais oui. Quelle brillante question ! ▬ En-Enfin pas que je me souvienne pas hein. Enfin si, j'ai du mal, mais. Mais !
Pourquoi lui a-t-on offert une langue ? Pourquoi ? ▬ C'ét- C'était pour savoir si je pouvais te prendre la main ! ... Juste ça.
Franchise bêtise stresse aucune délicatesse = Aucune crédibilité. Lui qui semblait froid, violent et distant. Bravo, encore heureux qu'ils soient seuls, sinon adieu réputation. ▬ ... Désolé, fait comme si que je n'avais rien dit...
Qu'il se cache derrière sa main, alors qu'il se trouve juste à côté. Qu'il feint la fatigue, alors qu'il est tout simplement gêné. C'est bien de se relâcher, mais faudrait pas pousser. Espérons qu'Aysha ne le prenne pas pour un blaireau, au point où il en est.
Dernière édition par Kaito C. Ryûzoji le Sam 8 Oct - 19:44, édité 1 fois |
| | | CALL ME Invité Invité | Sujet: Re: Once upon a time, a fool and a temptress, in the dark forest, under the moon. [ PV Aysha ] Lun 5 Sep - 8:35 | |
|
Je le regardais avec un brin d'amusement. J'étais bien évidemment rassurée de le voir ainsi, rassurée de sentir qu'il était en vie même s'il semblait encore troublé. Cette frayeur avait accéléré mon rythme cardiaque comme pas possible et je peux vous dire que ça fait mal dans la poitrine que de sentir cet organe gronder et tonner comme s'il voulait sortir de là et vivre sa propre vie, me privant de la mienne. Si j'avais perdu Kaito ce soir, je pense que je m'en serais voulu pendant toute ma vie. Il est le seul garçon à qui j'accorde un minimum d'importance. Je n'irais pas dire que je tombe amoureuse ou que je suis prête à passer ma vie à ses côtés mais ce serait plutôt comme quelqu'un qui me plait et avec qui j'aime passer le plus clair de mon temps. Cela peut paraître stupide mais je ne me souvenais même plus des circonstances de notre rencontre, c'était comme si je le connaissais depuis toujours, comme s'il était une partie de moi maintenant. Cela devenait une habitude de venir le voir, de manger avec lui à la cafétéria, de trainer ensemble dans les couloirs et toutes ces sortes de choses que l'on fait ensemble naturellement. Beaucoup pourraient nous considérer comme un couple mais nous en étions pas un. Je n'étais pas faite pour être en couple et même si je l'autorisais à me câliner, me prendre la mains ou me caresser les cheveux, jamais encore nous étions allés plus loin. Pas même un baiser. Cela peut sembler stupide car nous savions lui comme moi que nous sommes attirés l'un par l'autre mais c'est ainsi, j'ai mes principes, mes règles. C'est juste que lorsqu'un garçon me provoque de la tachycardie d'habitude j'évite de le fréquenter, mais avec Kaito je n'y arrive pas, je finis toujours par retourner le voir et lui parler comme si de rien n'était c'est pour ça que je me suis imposé ces règles même si parfois rien qu'en l'effleurant je n'ai qu'une envie c'est qu'il me saute dessus et qu'il m'embrasse.
Il me faisait sourire, mes yeux pétillaient lorsque je le regardais et je sentais une étrange petite douleur agréable me tordre le ventre lorsqu'il prit la parole. Sa voix me fit tressaillir. Son geste pour se nettoyer était adorable. J'eus un petit rire à sa phrase et je me redressais pour tracer sur le restant de saletés présentes sur ses joues deux traits sous chacun de ses yeux bleus, puis avec la terre présente sur mon doigt je fis ces deux traits sous mes propres yeux et je m'exclamais, fière du résultat.
« Nous sommes deux chefs indiens perdus dans la forêt et nous avons ainsi tous les deux l'air débile ! »
Certes je n'aimais pas me salir mais ce n'était pas pour deux petit traits de terre sur le visage que j'allais péter un câble et puis à ce qui paraît les masques de terre étaient bon pour le visage. C'était adorable, je n'avais jamais vu Kaito dans un tel état et le ciel devenait de plus en plus sombre, cela faisait combien de temps qu'on était ici ? Les questions du blond me surprirent mais je répondis d'abord en riant à nouveau, ce n'était pas pour me moquer de lui mais ses questions étaient réellement comiques ! Alors j'agitais un peu la main devant mon visage comme pour lui dire qu'il se trompait complètement et je dû attendre de me calmer avant de pouvoir enfin lui répondre convenablement.
« Non Kaito, nous n'avons jamais couché ensemble, personne n'est encore allé entre mes cuisses. »
Voilà qui était dit, au moins, ça c'était fait. Je finis par me lever et je lui tendais ma main, afin qu'il se lève à son tour et une fois qu'il le fit je gardais ma main dans la sienne pour la serrer un petit peu et la caresser du bout du pouce. Il avait de grandes mains comparées à moi. Je me sentais en sécurité en sa présence car... Je ne sais pas, il avait une sorte d'aura qui faisait que j'avais l'impression qu'il me protégerais quoi qu'il arrive. Silencieuse, je commençais à marcher un peu maladroitement dans la forêt, décidément ce n'était vraiment pas mon environnement, et puis en plus ici il y avait souvent des bêtes sauvage et moi j'aimais pas du tout ça les bêtes sauvage. A part Nyu mais lui c'est un Kitsune alors il est tout gentil tout mignon enfin je crois je n'ai jamais vu sa vraie forme mais là je crois que je réfléchis trop ou alors que j'ai peur au fur et à mesure que la nuit tombe sur nous dans cette forêt oui c'est ça j'avais un peu peur de la forêt mais plutôt mourir que de l'avouer. J'étais un peu crispée. Il faudrait que je parle pour penser à autre chose.
« ... Quand je disais amis intime... C'était plus parce qu'on est tout le temps fourrés à deux, collés l'un à l'autre à parler pendant des heures, à se câliner tout ça quoi... Rien de.. Sexuel pour le moment. »
Je lui fis un petit sourire gêné, j'avais toujours repoussé tout le monde jusqu'à présent alors je ne pensais pas que je serais un jour troublée par un jeune homme. C'était moi la mangeuse d'hommes. Je les charmais, je les fréquentais et puis ils finissaient tous par se perdre dans les méandres de la folie que provoque les sirènes. C'était ainsi. Mais sur Kaito, je n'exerçais pas mes pouvoirs je me sentais comme... Prisonnière de mes propres dons et du désir incommensurable que j'éprouvais pour lui. Bravant ma gêne, je bredouillais.
« Tu ne m'as même encore jamais embrassée. »
J'eus un petit rire comme pour me donner un peu plus de contenance avant de trébucher sur une branche, me rattrapant au bras de Kaito pour ne pas m'étaler au sol. Dieu que je devenais niaise, c'était un de ces clichés que de faire exprès de tomber pour se rattraper sur l'homme espéré. Non mais je n'étais pas comme ça moi. Me redressant alors fièrement, je remis une mèche de cheveux derrière mon oreille et tenta de reprendre la route. Mais...
« ... C'est par où l'école ? » |
| | | CALL ME Invité Invité | Sujet: Re: Once upon a time, a fool and a temptress, in the dark forest, under the moon. [ PV Aysha ] Jeu 13 Oct - 13:52 | |
|
Là où ils se trouvaient, quelques rayons de lune tentaient de montrer un chemin qui pouvait les ramener dans ce pensionnat, mais les nuages font vite obstacle. Résultat, le grand blond ne voyait pratiquement rien. Qui plus est, le froid se montrait vorace, la nuit. D'où cette lourde sensation d'être soudainement frigorifié. Il avait aussi l'impression qu'il allait perdre son sens du touché, rester sur place n'était vraiment pas une bonne idée. Le plus étonnant, ou peut-être pas non, est le fait qu'aucun bruit ne se faisait entendre. Quand il fait nuit, le calme règne. C'est comme ça dans la tête de n'importe qui. On associe toujours l'obscurité au silence, peut-être parce que c'est apaisant. On comprend mieux pourquoi les gens sursautent lorsqu'ils entendent le moindre petit bruit ou qu'ils soient complètement effrayés, aussi. Mis à part la voix de la sirène, Connor n'entendait rien et... Ça le rassurait.
AYSHA ▬ Nous sommes deux chefs indiens perdus dans la forêt et nous avons ainsi tous les deux l'air débile ! Il ne fit pas attention à sa bêtise, si elle semble s'amuser ainsi, alors tant mieux. Car des deux, elle est certainement celle qui doit se sentir mal, dans une situation pareille. Néanmoins, avoir de la terre sous les yeux... On va dire qu'il avait passé l'âge depuis longtemps, de ce genre de jeu. Il ne dit rien, comme d'habitude, pour ne pas la vexer ou autre. Au fond, sa priorité était de la ramener au pensionnat avant que la fatigue ne se fasse sentir. Enfin, puisqu'il avait l'impression que ses précédentes questions étaient... Très loin de la vexer, il fut soulagé, ça prouve au moins qu'elle n'était pas stressée.
AYSHA ▬ Non Kaito, nous n'avons jamais couché ensemble, personne n'est encore allé entre mes cuisses. Ça, c'était du direct, mais... Il avait un peu de mal à la croire. Elle est belle, ça c'est sûr, peut-être au même titre que Désirée. Sauf que la goule était loin, très, très, très, trop, très, trop loin d'être encore vierge. En même temps, elle doit plus être toute jeune... L'âge a toujours été un sujet sensible, pour n'importe quelle fille coquette, c'est sans doute pour ça qu'il évite de poser la question à Aysha. Oui vaut mieux.
AYSHA ▬ ... Quand je disais amis intime... C'était plus parce qu'on est tout le temps fourrés à deux, collés l'un à l'autre à parler pendant des heures, à se câliner tout ça quoi... Rien de.. Sexuel pour le moment. Et il allait hocher la tête, jusqu'à se rembobiner la fin de sa phrase. Pour le moment ? Pour le moment ? Ça veut dire quoi, pour le moment ? Qu'elle avait songé à. C'est dingue, pour un idiot, il savait réfléchir. Et le simple fait qu'une fille puisse songer à s'offrir... Surtout une Lust. Après tout, les créatures de cette maison sont plutôt... Séduisantes. Intéressantes et envoûtantes. Comment se fait-il que mademoiselle ne soit pas passé à l'acte ? Est-ce qu'il ne lui plaisait pas ? Impossible. Ce n'est pas pour vanter ou être narcissique. MAIS VOUS ALLEZ PAS ME DIRE QU'IL EST MOCHE QUAND MÊME ? Non faut être myope pour dire ça... Ou être complètement lesbienne ou bien une sacrée féministe en rage contre le corps de l'homme. Bref, cela ne changeait pas le fait que le blondin continuait de rembobiner cette fin de phrase, sans la quitter du regard.
AYSHA ▬ Tu ne m'as même encore jamais embrassée. ... Ça peut s'arranger, qu'il avait envie de dire, mais cette réponse sonnait un peu « Play boy » et la situation n'était pas vraiment idéale, pour ça. Dommage, oui, c'est bien dommage...
AYSHA ▬ ... C'est par où l'école ? Il allait lui répondre, si mademoiselle ne s'était pas vite dégagée de lui. Elle venait tout juste de trébucher et lui, il a servit d'appui. C'était pas désagréable, mais elle peut lui dire la vérité hein. C'est pas cool de laisser un homme croire qu'il sent rien alors qu'il doit sentir le putois, c'est méchant ça, vilaine Aysha.
... J'arrête de jacter. Enfin, la jeune sirène venait de poser la question piège, car comme dit précédemment, la nuit n'était pas le moment idéal pour une sortie en toute tranquillité et en toute sécurité. Surtout, en toute sécurité. Il faisait noir, la lune revenait, allait, revenait, allait et ainsi de suite à cause des nuages qui se baladent devant sa gueule à chaque minutes qui s'écoulaient. Donc oui, ça allait être un peu bonbon pour retourner au pensionnat.
Le pire, c'est que Kaito alias le grand blond, savait que le chemin qu'il voulait emprunter allait les diriger dans la forêt. Là, actuellement, ils sont justes sur un petit chemin à part, ce qui expliquerait le fait qu'il pouvait penser qu'ils étaient seuls au monde, sur une île déserte. Mais non mon grand, l'école se trouve juste pas loin de vous.
KAITO ▬ Il faut. Euh. Passer par-là, je crois bien... Oui parce que le comble est qu'il avait encore quelques défaillances au niveau de la mémoire. De toute façon, ils avaient pas le choix, c'était la seule chose qui pouvait les conduire au pensionnat. Il mit ENFIN sa timidité de juvénile de côté, pour prendre la main de la jeune sirène et l'inviter à le suivre. Une branche fut écartée de leur chemin, peut-être même brisée tellement qu'il n'y faisait pas attention. Une deuxième, suivit d'une troisième. Ça serait moche que la jeune fille se prenne une branche en plein visage... Quoi que. Non, ça serait méchant. Et elle a déjà assez subis comme ça pour ce soir, on va s'abstenir de ce genre de bêtises.
KAITO ▬ Et si tu entends le moindre bruit... Ne crie surtout pas. Non pas qu'il la prend pour une poule mouillée... Même si c'est une fille. Mais disons que les filles sont plus. Plus sensibles que les hommes sur beaucoup de points. Non en fait, si elle hurlait comme une folle au moindre petits bruits, ça va devenir un véritable merdier, ce n'est pas ce qui est voulu. Et en même temps, il aimait bien se donner le rôle du gentil garçon qui prévient du moindre danger. Mais à part le vent, le feuillage qui s'écrase sous son passage et les oiseaux qui chantonnent on ne sait quoi... Y'a pas vraiment de danger en fait. Qui plus est, monsieur songeait encore et toujours à ce fameux « Pour le moment ». Oui, il n'a pas oublié et ça le travail. Énormément. Même si il en a pas l'air, il était intéressé par elle. Il ne savait plus pourquoi, mais c'est le cas... Ce n'est pas logique, mais je n'ai jamais dit que ce bourrin était logique. Du moins, dans son amnésie.
KAITO ▬ Ah. Je. Je vois le pensionnat. Encore un petit effort. Qu'il dit, mais il devait juste rester... Quelques mètres, sans doute. Après, qu'est-ce qu'il va se passer ? Rien. Elle va aller dans sa chambre, lui dans la sienne. Apercevoir un joli message où c'est marqué « N'oublie pas ton traitement », comme d'habitude, il ne va pas se poser de questions et prendre ces foutus comprimés avant de dormir.
KAITO ▬ ... Tout à l'heure, tu as dis qu'on était... Souvent ensemble. Je suppose qu'on se verra demain, hein ? Qu'il est mignon, n'est-ce pas ? Il s'en moque de la terre sur son pantalon, il s'en moque des feuilles qui salissent sa chemise blanche complètement déchirée d'un côté et il s'en moque de ce mal de tête qu'il a depuis tout à l'heure.
Par contre, oui, ce bourrin blond est soulagé qu'il a enfin réussit quelque chose sans avoir le moindre problème en route.
... N'est-ce pas ? |
| | | CALL ME Contenu sponsorisé | Sujet: Re: Once upon a time, a fool and a temptress, in the dark forest, under the moon. [ PV Aysha ] | |
|
| | | | Once upon a time, a fool and a temptress, in the dark forest, under the moon. [ PV Aysha ] | |
|
Page 1 sur 1 | | | Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|