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© Design #6 par Erin McCarley, optimisé sous Firefox. | BACKGROUNDIt's the end when I beginDans cet établissement pas de discrimination, tout le monde demeure sur un pied d’égalité : vampires, humains, loup-garous, succubes et autres créatures. Pour ce faire il est naturellement obligatoire de conserver une forme humaine. Marre du monde des humains où vous vous sentez à l’étroit, mal à l’aise ? Il vous manque simplement la liberté. Le pensionnat est là pour vous. Nous saurons vous trouver où que vous soyez et qui que vous soyez.Cependant derrière tout ces aspects d’égalité et de liberté les plans se trament et la tentation de hausser sa race en influence au sein de l’établissement apparaît. Les tensions montent secrètement et lentement entre les différents individus et l’odeur âpre de la confrontation entre celles-ci commence à ce faire sentir. Sous des airs angéliques vos voisins de table peuvent très bien vous haïr. Tout n’est que voile et mensonge. Maintenant à vous de faire votre entrée, qui que vous soyez, quoi que vous soyez. Continuerez vous le jeu malsain qui se joue dans l’établissement ou vous dresserez vous contre celui-ci en faisant éclater la vérité au grand jour ? Saurez vous passer « de l’autre coté » ? |
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| Inappréciable solitude [PV] | |
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CALL ME Harlie Mauchly-Eckert DO IT IF WE SAY IT | Sujet: Inappréciable solitude [PV] Ven 6 Jan - 19:39 | |
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  La nature de plus en plus se montrait hostile. La terre était gelée, les animaux muets. Cela angoissait le golem, qui n’appréciait que trop peu l’hiver. C’était pour lui le temps de la dépression, de la fatigue. Chaque matin, se lever était un acte de bravoure. Mettre ses pieds froids sur le sol glacé l’électrisait, sortir de sous ses chaudes couvertures pour enfiler ses vêtements était une torture. Se déshabiller dans ce grand appartement que la nuit avait refroidi. Un supplice. Hélas, il n’y avait pas moyen de réguler la température à l’intérieur de ces lieux. Tout le système de chauffage de l’établissement était contrôlé par une bête machine, qui montait ou descendait la température selon la chaleur du dehors et les heures de la journée. Le golem avait pensé à acheter un petit chauffage électrique, mais s’était vite rendu compte que ce serait inutile. Le plafond de son lieu de vie était trop haut et les pièces vastes, il manquait de prises électriques et il ne passait pas suffisamment de temps dans ses appartements pour que ce soit d’une réelle utilité, contrairement à son bureau où il en avait installé un. De plus, à chaque début d’hiver, déferlaient dans les journaux des accidents dont le responsable était un radiateur électrique mal-fonctionnant. Certes, Harlie ne craignait pas grand-chose, ce ne serait pas la première fois qu’il se retrouverait au cœur d’un incendie. Sa peur allait plutôt envers ses chats (il ne voulait pas qu’ils meurent par sa faute !) et aux dégâts que cela pouvait causer. Les réparations coûteraient cher et Harlie n’était pas assuré. Qui plus est, l’intendant redoutait ce qu’ensuite on pourrait lui reprocher… De ne pas être prudent, par exemple. Et tous ces rires, ces moqueries. Ah, le brun ne supporterait pas cela ! Mieux valait-il avoir froid et se réveiller la nuit grelottant et attraper la grippe… Harlie avait la gorge qui le grattait et une céphalée des plus horribles. La grippe. A quoi cela servait-il d’être d’une puissance rare parmi les monstres si c’était pour attraper la grippe chaque hiver !
Enervé par la faiblesse de son corps, le golem cassa une de ses tasses en la reposant trop brutalement sur sa table. Le thé qu’elle contenait s’écoula partout, entraînant avec lui les brisures du récipient détruit. Harlie pesta, observa ses doigts. Aucune coupure. Mais il s’en fit une légère quand il ramassa les morceaux. Prostré, le géant resta un long moment à genoux sur le sol, son doigt meurtri dans la bouche. Un soupir, un désir de retourner dans les bras de Morphée, cette amante qui lui faisait momentanément tout oublier. Elle savait l’apaiser, le consoler par sa muette présence. Deux minutes passèrent. Un de ses félins miaula, inquiet. La bête s’approcha, se frotta au bras d’Harlie, qui repoussa méchamment son museau. Avant de s’excuser d’une caresse. Difficile journée et l’intendant savait que cela pouvait encore empirer. Sans rien dans le ventre à part une bile noire de haine, Harlie se leva, enfila un pull noir par-dessus son t-shirt noir. Toujours tout de noir. Sauf ses baskets, comme d’habitude. Aujourd’hui, elles étaient jaunes et rouges. Il n’aimait pas beaucoup cette paire, ses lacets tout le temps se défaisaient. Semblait-il qu’il les serrait trop. Pratique, s’il devait se mettre à courir. Harlie n’excluait jamais le fait qu’un jour, quelqu’un bondirait sur lui comme un fou, le poussant à devoir se défendre. Se défendre les lacets défaits, vous imaginez. Un faux pas, marcher dessus, se rétamer. La fin de son règne.
Le voilà devant la porte de l’intendance. Il chercha ses clefs, ouvrit la porte et respira un grand coup. Cela sentait le papier humide. Comme chaque matin, après une nuit pluvieuse. Il alluma la lumière. Sa main dérapa et l’éteignit. Après un râle d’impuissance, Harlie appuya de nouveau sur le bouton. Ses gestes étaient si imprécis… Avait-il de la fièvre ? Le golem ne savait dire. Il avait juste froid. Très froid. Comme d’habitude. Pas de quoi se formaliser.
Rien ne semblait avoir bougé depuis la veille. Il y avait toujours ses figurines de dinosaures sur son bureau. La grande reproduction d’une peinture de Mossa derrière son bureau. Aucune fenêtre dans cette pièce. Il fallait aller dans la pièce attenante à son bureau pour espérer s’emparer de quelques rayons de soleil. Parfois, l’intendant passait des journées entières sans voir l'astre solaire. Il venait quand la lune toujours était haute dans le ciel et repartait quand de nouveau elle était là. Oui, sa vie se déroulait dans le bureau de l’intendance. Entre ces quatre murs, ces étagères pleines de dossiers incompréhensibles. Harlie se laissa tomber dans son fauteuil, alluma son ordinateur dont il caressa l’écran comme s’il s’était agi d’un visage aimé. La date qui s'afficha au bas de l'écran le fit tilter. C’était le jour où Harlie devrait trier les dossiers des nouveaux arrivants, vérifier les informations pour les rentrer dans son ordinateur… Ah, pourquoi ne pouvaient-ils pas tout compléter directement de façon informatique ? Cela donnerait moins de travail à l’intendant. Qui plus est, il devait vérifier les comptes de l’établissement. Récapitulons. Harlie servait d’intendant, de concierge et de comptable. A lui tout seul.
Ou presque.
Peut-être que Rina viendrait lui rendre visite. Elle devait savoir qu’aujourd’hui serait un jour horrible. Qu’elle ferait mieux de vite pointer le bout de son nez ! Harlie ne voulait vraiment pas travailler, de plus. L’intendant rabattit sa capuche sur son visage, repoussa son clavier et posa sa lourde tête à la place. Mais Rina avait cours, aujourd'hui. N'est-il pas ? Las, l'intendant ferma ses grands yeux. Juste le temps de se reprendre, d'accumuler de l'énergie. Juste un peu...
Il s’endormit la minute suivante. En ronflant. Sur son bureau. |
| | | CALL ME Invité Invité | Sujet: Re: Inappréciable solitude [PV] Sam 7 Jan - 15:45 | |
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▬ Rina Okamoto▬ Harlie Mauchly-Eckert Je n’aimais pas l’hiver. Il faisait froid et j’avais les doigts de pied gelés dans mes bottes qui n’étaient pas adaptées à la neige et au verglas. J’éternuais sans cesse, bien que je ne sois pas enrhumée et mon nez prenait une teinte rosée qui gagnait en rougeur à chaque fois que je me mouchais. Dieu merci, je ne parlais pas du nez et j’en fus rassurée. Quelques flocons tombaient lentement à l’extérieur comme si le temps se stoppait pour les laisser s’écraser et fondre sur le sol. A cela se rajoutait un soleil inexistant caché derrière un épais plafond de nuages grisâtres et une température ne dépassant pas les dix degrés. L’hiver était cruel avec moi et c’était pour cette raison que je détestais cette maudite saison glaciale et sombre. J’enfilai mon manteau à la hâte. Je venais tout juste de sortir d’un cours de mathématiques terriblement ennuyant et je ne rêvais que d’une chose : replonger au fond de mes draps que j’avais quitté trois heures auparavant. Je feuilletai mon agenda dans le couloir, me dirigeant en silence jusqu’à la salle de philosophie. Je tournai les pages blanches sans réelle autre intérêt que de vérifier si tous les devoirs de la journée avaient été faits. J’entendis quelques exclamations à quelques mètres de moi et je compris qu’il se passait quelque chose. Une femme à l’allure sobre s’éloigna en souriant tandis que les élèves de ma classe se dispersaient dans le couloir. La porte de la salle était fermée, et les deux heures de philosophie n’auraient pas lieu. Je l’avais senti. La vérité, c’est que cela m’arrangeait bien. Mon étonnement laissa sa place à l’euphorie, puis à un court instant de doute. Deux heures, ce n’était pas rien et je devais m’occuper. Je tripotais mon agenda aux reliures grises quand une idée me traversa l’esprit. Plus qu’une simple idée, c’était carrément une révélation. L’ennui, c’est que lorsque l’on a une révélation soudaine, comme à l’instant, on a envie de sauter de joie, de courir en slip dans les couloirs en chantant l’hymne du pays. Ici, c’était en quelque sorte une crainte. La crainte de quoi, me direz-vous ? Si vous saviez quoi… Monsieur Mauchly-Eckert. L’intendant aimait bien que je lui rende visite pour l’aider à ranger ses papiers. Je ne sais pas pourquoi il m’avait choisie moi plutôt qu’une autre. Certainement parce que j’avais un don pour trier les dossiers et les ranger par ordre alphabétique, alignés parfaitement sur l’étagère ? Peut-être bien que oui. J’aimais bien y aller puisque cela me conférait un statut d’élève « supérieure » aux autres et donc, je me sentais plus populaire. En plus, ça passait le temps et je loupais certains cours. Il n’y a pas à dire, l’intendant me rendait service. C’était donc avec plein d’entrain (ou pas) que je me rendis au rez-de-chaussée pour aller rendre une petite visite à ce cher monsieur. Au fait, je ne vous ai pas dit cette « crainte ». C’était tout simplement que j’oublie d’aller le voir et qu’il ne me voit plus que comme une pensionnaire banale et monstrueusement flemmarde qui préfère s’amuser plutôt que de l’aider à trier la paperasse. Il finirait par être informé de l’absence de mon professeur et se questionnerait sûrement au sujet de cette mademoiselle Okamoto qui n’aurait pas eu envie de bosser pendant mes deux heures de libre. Toutes ces conclusions sortaient tout droit de mon imagination florissante et personne ne pouvait s’assurer que ce serait ça qui se passerait. Peu importe. Le couloir du rez-de-chaussée était presque vide et je trouvais ça plutôt agréable. D’ailleurs, tous les couloirs aux heures de cours étaient silencieux et dépourvus de monde. J’appréciais me promener seule dans cet immense tuyau vitré à moi toute seule. On entendait les voix d’adultes au loin et le bruit des touches d’un clavier d’ordinateur. Un bruit de va-et-vient froissé me rappela qu’un agent d’entretien exerçait sa fonction dans une des pièces parallèles au hall d’entrée. Je bifurquai sur la gauche pour arriver dans une grande salle surnommée accueil où étaient installées des professeurs et des agents d’entretien que je ne connaissais pas. Il y avait de nombreux personnages qui m’étaient inconnus dans ce pensionnat et pour être franche, je m’en fichais bien. Ils me jetèrent un coup d’œil rapide avant de continuer à discuter. La salle était lumineuse et en dépit de ça, très froide et exposée aux courants d’air. Lorsque je vis la neige par une fenêtre, je ne pus m’empêcher de réprimer un frisson. Finalement, au bout de quelques pas, j’arrivai au bureau de monsieur Mauchly-Eckert. J’étais enfin arrivée à destination. Je frappai. Une fois : rien. Deux fois : toujours rien. Il n’était pas resté au lit quand même ? Oh mon dieu, si c’était le cas, j’étais bien dans la mouise. Je frappai une dernière fois sans réponse, hélas. Il faut dire que j’y étais allée mollo. Je n’avais pas frappé trop fort pour éviter qu’il n’entre dans une colère noire et que tout ça me retombe dessus. Je décidai donc de pénétrer à l’intérieur. Emportée par mon élan, je ne pus dire ce qui se passa réellement lors de mon entrée dans le bureau. A l’ouverture de la porte, je sentis quelque chose buter contre mon pied. Ou peut-être était-ce mon pied qui buta contre quelque chose. Quoi qu’il en soit, je perdis l’équilibre sans vraiment avoir eu le temps de dire ouf. Le sol se déroba sous mes pieds et je me ramassai carrément par terre. J’essayai de me rattraper à la poignée mais je ne réussis qu’à l’effleurer, puis je finis ma course sur le sol dans un bruit sourd. Je me relevai en chancelant et je compris que le pied d’une chaise mal placée m’avait entraînée sur le dallage. En y repensant, il faisait bon dans ce bureau. Même s’il n’y avait pas de lumière mis à part un horrible plafonnier, j’aurais volontiers passé ma nuit ici plutôt que dans ma chambre. Je repris mes esprits pour m’adresser à l’intendant. Ce pauvre monsieur dormait à poings fermés sur son bureau. Son ordinateur était en veille, ce qui laissait penser qu’il était endormi depuis belle lurette. Un sourire étira mes lèvres puis sans vouloir le réveiller brusquement – car dieu seul sait ce qu’il aurait fait en cas de surprise –, je m’approchai de son bureau et prononçai d’une voix polie : |
| | | CALL ME Harlie Mauchly-Eckert DO IT IF WE SAY IT | Sujet: Re: Inappréciable solitude [PV] Dim 5 Fév - 17:11 | |
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Cela avait été, comme d’habitude, un sommeil sans rêve. Un sommeil profond, oublié, que rien ne vint intervenir. Sauf cette petite voix. Cette petite voix qui le salua, cette petite voix qu’il connaissait. Mais, que faisait-elle dans sa chambre ? Oui, dans sa chambre. Harlie, à ce moment, n’aurait jamais pensé qu’il se serait endormi sur son bureau. C’était si peu… professionnel ! Si peu lui. Toujours soigné, à l’heure. En avance, même. Rien qui ne dépassait, à part sa sale gueule et sa personnalité. Harlie se permettait de s’habiller comme il l’entendait, de personnaliser son bureau parce qu’il savait que personne ne lui dirait rien sur cela. Parce qu’il était bon à ce qu’il faisait et donc, comme tous les bons, avait le droit à quelques égards. Mais ce n’était pas une place facile. Il fallait toujours que e golem se batte pour rester performant, voire toujours plus performant et ne pas faiblir. Ne montrer aucune faille, ne faire aucune erreur. C’était fatiguant, et parfois énervant. Cela le mettait sous pression et parfois faisait faiblir ses nerfs. Harlie n’était pas fait pour ce genre de vie. Il n’aimait que les champs de bataille, le bruit des hommes agonisants et faire craquer les os sous ses bottes de cuir épais, luisantes de sang. Le golem ne faisait qu’imiter la normalité, se conformer à l’idée qu’on voulait avoir de lui. Ses lunettes sur son large nez, ses doigts farfouillant entre quelques dossiers. Strict, parfois brutal dans ses propos. Parce qu’avec sa carrure, son air sauvage, on ne pouvait voir autre chose de lui. Il voulait être tout ce qu’il y a de plus normal. Difficile quand on est un monstre.
Il remua légèrement, tourna sa tête, yeux encore clos, vers là d’où venait la voix. Cela devait être son esprit lui jouant un tour. Cela ne se pouvait pas. Une illusion. Mais son nez lui dit qu’il n’était pas dans sa chambre, à la forte odeur de cythise. Un autre parfum l’entourait. Un parfum connu, mêlé d’un autre moins connu. L’odeur du papier. L’odeur d’une demoiselle. « Hm. » Un grognement. Quel rêve étrange, quelle sensation étrange. Rêve. Harlie ne se rappelait jamais de ses rêves, normalement. Et là, tout semblait si net. Pouvait-il réveiller, sans que rien de cela ne s’évanouisse ? Mais… il était déjà réveillé, non ?
Brusquement, le golem se redressa, clignant ses grands yeux. Le dossier de sa chaise grinça quand son fort dos s’appuya dessus. Une main chassa sa capuche de son crâne. Le visage du golem n’avait pas sa dureté habituelle. On y lisait une pointe de gêne et beaucoup de surprise. Et encore, de la fatigue. L’intendant ne put d’ailleurs réfréner un bâillement, qu’il camoufla d’une de ses larges mains avant de fixer l’intruse, qui droite comme un piquet était plantée non loin. Que dire, que faire ? Harlie mettait toujours un peu de temps à démarrer après avoir dormi. Il avait dormi. Ses sourcils se froncèrent, tentant de trouver une autre raison pour expliquer son état. Pourquoi était-elle venue si tôt ? Ce n’était pas encore même l’heure d’aller en cours… Le brun était persuadé que s’il avait dormi, cela n’avait été que pour cinq minutes, ne se doutant point que plusieurs heures s’étaient écoulées. Un mal de crâne atroce assommait ses pensées.
« Bonjour. »
Un mot sans sentiments, une creuse politesse. Une mollesse dans son corps l’empêchait de se montrer plus actif. De faire comme s’il s’était juste un peu reposé et qu’il était, comme d’habitude, très occupé. Sa tête se tourna vers son écran, qui s’était mis en veille prolongée. Le golem fronça son regard, secoua sa souris pour le réveiller alors que quelques mots de nouveau s’échappèrent d’entre ses lèvres charnues.
« Il est bien tôt. C'est rare de te voir par ici avant les cours... »
Un coup d’œil au bas de son écran. Ses paupières se plissèrent. Ce n’est pas possible. Il ne peut être si tard. Non. Impossible. Jamais il ne se serait réveillé si tard. Sûr de lui, quelques clics droits le menèrent au programme pour changer l’heure de son ordinateur. De sa poche le brun sortit son portable, pour connaître le temps exact. Une seconde d’arrêt. Son visage apathique se tourna de nouveau vers la charmante demoiselle. C’est qu’elle était jolie. Ses formes étaient celles des graciles adolescentes. Une longue chevelure entourait son visage symétrique, que la vie n’avait pas encore marqué de quelques coups durs.
« Putain l’est quelle heure ? »
Une angoisse dans sa voix ; un vilain mot lui avait échappé. C’était une blague ? |
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