Dans cet établissement pas de discrimination, tout le monde demeure sur un pied d’égalité : vampires, humains, loup-garous, succubes et autres créatures. Pour ce faire il est naturellement obligatoire de conserver une forme humaine. Marre du monde des humains où vous vous sentez à l’étroit, mal à l’aise ? Il vous manque simplement la liberté. Le pensionnat est là pour vous. Nous saurons vous trouver où que vous soyez et qui que vous soyez.Cependant derrière tout ces aspects d’égalité et de liberté les plans se trament et la tentation de hausser sa race en influence au sein de l’établissement apparaît. Les tensions montent secrètement et lentement entre les différents individus et l’odeur âpre de la confrontation entre celles-ci commence à ce faire sentir. Sous des airs angéliques vos voisins de table peuvent très bien vous haïr. Tout n’est que voile et mensonge. Maintenant à vous de faire votre entrée, qui que vous soyez, quoi que vous soyez. Continuerez vous le jeu malsain qui se joue dans l’établissement ou vous dresserez vous contre celui-ci en faisant éclater la vérité au grand jour ? Saurez vous passer « de l’autre coté » ?
DA NEWS & CIE You know now
Nouveau DESIGN à commenter et à critiquer ici. Prédéfinis libres et rafraîchis ! Jetez y un oeil! Gazette est de retour ! Pour vous jouer DES mauvais tours, avec une montée de sadisme en prime ♥
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BODIES WITHOUT SOULS, OR NOT Have fun with them, if you can
Elle est le Fenghuang (Phénix Chinois). Sa maison est celle des Glutonny ♥ Son niveau est le 3.
Auster est schizophrène, mais d'une façon différente des autres. Sa personnalité s'est en quelque sorte scindés en deux, une partie forte, rebelle affamée et excessivement dangereuse: Face, et une partie moins forte, d'abord froide puis timide et enfin tendre : Pile. Auster avait une vie, avant. Mais elle s'est jetée dans ses propres flammes et en a tout oublié. Mais elle n'a pas eut plus de chance. Aujourd'hui, elle reste encore traumatisée par les docteurs. Auster est également une parfaite membre des Glutonny. Elle a un estomac de plomb et une faim perpétuelle. Seule la chaire humaine a le pouvoir de la rassasier. Face l'adore cru, Pile trouve ça dégoûtant. Mais, après tout, ce n'est pas du cannibalisme, puisqu’elle elle n'est même pas humaine.
Sujet: Re: Auster - Quand l'appétit va, tout va ♫ Sam 30 Juil - 22:22
AUSTER CAROLL ▬ NOUS SOMMES TOUS SOUS LE MÊME CIEL
Idées de liens:
✖ Amour ambigus, fleurs bleus or Not - 1/1 ✖ Une ou Un protégé adoré/e - 1/1 ✖ Un souffre douleur pour Face, qu'elle pourrait s'amuser à mordre et a menacer - 1/1 ✖ Un ami/ennemie médecin que Pile et Face persécuteraient par simple horreur de cette profession (Ou plus) - 1/1 ✖ Une personne qu'elle ne supporterait pas pour tel raison - 0/1 ✖ Des potes gloutons - 1/3 ✖ Des potes tout court - 0/3 ✖ Des Non-potes - 0/3 ✖ Autre ? ♥
Nyu Kyomoe
• Mon petit Nyu, si adorable. Que dire sur toi? Tout d’abord, tu connais mes deux faces. Pile t’apprécie. Tu a su la percer à jour malgré sa froideur à force de câlins, d’embrassade. Elle ne peut résister à ta bouille et te cède tous, un peu trop vite parfois. Cependant, elle a bien remarquée que tu ne cherche pas à te servir d’elle, et elle t’aime surtout pour ça. Car tu a bien eu le temps de voir chacune de ses faiblesses et contrairement aux autres, tu ne parait pas vouloir t’en servir contre elle. Du moins pour l’instant.
• Pour Face, c’est une autre affaire. Tu es son jouet, sa peluche et parfois son diner. Elle ne cesse de te titiller car ta peur l’amuse. Chaque morsures qu’elle te laisse est comme une marque qui l’a remplie de joie et qui prouve sa pseudo domination sur toi. Tu l’a fuit mais elle te poursuis. Tu l’a déteste mais elle t’adore. Enfin, on peut comprendre pourquoi tu est si effrayé. Elle te l’a dis une fois, le jour où tu l’ennuieras, pour te punir, elle te mangeras.
Jerelath Cohen
Jerelath, cette saleté de blond. Il me tape sur les nerfs avec son idée d’Harem et pense que je lui appartiens. Il m’arrive parfois même de m’emporter et de lui assener quelques coups lorsqu’il m’agace vraiment. C’est qu’il cherche vraiment à m’énerver, il sembla s’amuser à me voire enrager. Pourtant, je ne peux pas me résoudre à le détester, bien au contraire. Je me surprend à le fixer, sans raison, ou à rougir pour des petits compliments qu'il me fait parfois. Je ne sais pas pourquoi mais le simple fait de le voir m’agace et encore plus lorsqu‘il est accompagné d‘une fille (presque à chaque fois, le vil séducteur !) Il obtient toujours ce qu’il veut de moi malgré ma mauvaise habitude de le frapper. Je n'arrive tout simplement pas à lui resister. Pourquoi? Je... Je n'en sais rien ! Cette idiot me fait tourner en bourrique et le pire c’est qu’il en est fière !
Léandre Théodore
Ce très cher Léandre ! Il n’a jamais vu que Face, pauvre de lui. Et celle-ci s’est mit en tête de le persécuter. Les raisons? De un, c’est un médecin et je hait les médecins. De deux, sa bouille est tout simplement trop mignonne lorsqu’il est gênée. Je ne peux même pas la décrire. Alors je l’embête par tout les moyens possible: je dérange son bureau, déchire ses papiers, mélange ses dossiers. Et parfois même, m’attaque à ses précieux poissons. J’en ai même gobée un, un jour. Je me souviens avoir vu le psy’ versé une larme puis il m’a coursé pendant quelques bons kilomètre. Inacceptable, criait-il. Les réactions de Monsieur Théodore me provoque souvent de long fou rire et il ne trouve en réponse de ses moqueries à me donner qu‘une moue gênée ou offusquée. Le pauvre n’a toujours pas compris que plus il réagira ainsi, plus je l’embêterais.
Hale Eoworin
Oh Hale, très cher Hale. Je t’aime, je t’adore. Tu parais si calme et si douce que je n’ai put que vouloir te prendre sous mon aile. Je te considère comme une muse, un être à part. je me donnerait à toi sans explication, tu peux me demander n’importe quel tache, me frapper, me détester... Je te voue un véritable culte. Une des première personne que j’ai réellement aimé en arrivant à cette drôle de petite pension. Je m’en souvient comme si c’était hier, tu t’était fait attaquée par un groupe d’individu et sans vraiment savoir pourquoi, je t’ai défendu. Depuis ce jour, je n’arrête pas. Je te reprend, je te corrige comme une véritable mère poule. Quand je ne te colle pas, c’est toi qui me cherche ce qui me remplie d’une joie sans fin car peut-être qu’au fond, j’importe à tes yeux.
Yunia Elfénontia
Yunia, c’est comme une petite sœur pour moi. Nous nous sommes connues étant toutes deux de la même maison. Nous nous comprenons, si bien que le dialogue en devient presque inutile entre nous. Il y a toute de même un blocage au niveau de la parole, étant très calme et froide toute les deux, il est très difficile de se parler. Il nous arrive souvent de nous disputer pour de petites choses idiotes. Aucune démonstration d’amour n’est permisse mais nous tenons pourtant l’une à l’autre. Ne vous attendez donc pas à nous voir nous enlacer ou ce genre de chose. Cependant, je ne la laisserais jamais dans le pétrin et il semble que c’est réciproque.
NOM & PRENOM
Nam sole orto magnitudine angusti gurgitis sed profundi a transitu arcebantur et dum piscatorios quaerunt lenunculos vel innare temere contextis cratibus parant, effusae legiones, quae hiemabant tunc apud Siden, isdem impetu occurrere veloci. et signis prope ripam locatis ad manus comminus conserendas denseta scutorum conpage semet scientissime praestruebant
Dernière édition par Auster Caroll le Mar 8 Mai - 19:26, édité 23 fois
CALL ME Auster Caroll EATING IS LIFE
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