CALL ME Invité Invité | Sujet: SAMAEL ;; Shut up, i kill you ! Lun 30 Mai - 19:18 | |
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“ Qui suis- je réellement ? „ Moi je fais des cacas papillons, et pas vous ! | • NOM : Cohen. • PRÉNOM(S) : Samael. • ÂGE RÉEL / D'APPARENCE : 140 années réel, et 19 ans d'apparence. • DATE & LIEU DE NAISSANCE : 27 octobre 1884. • RACE : Managarm.• MAISON(S) DÉSIRÉE(S) : WRATH / PRIDE ? • NIVEAU : Niveau 3 / 4 |
“ Ce qui est dehors. Dedans. Ce qui s'est passé. „ Du sang, de la rage, de la haine ; ou au contraire, des sourires, de la joie, des souvenirs ~
« On m'a toujours dit que plus tard, je serais une peste, une personne pas fréquentable. Non pas à cause de mon caractère à moi. Mais plutôt à cause de celui de mes parents. Tous des colériques avide de sang, chez moi, il paraît. J'ai six ans. Enfin j'avais six ans à ce moment - là de ma vie. Tout aller parfaitement bien dans cette dernière. Ma mère me levait tôt le matin pour que je puisse avoir le temps de me préparer, de prendre mon petit déjeuner, mais surtout de ne pas loupé mon bus scolaire. Elle avait horreur que je loupe mes bus. Ça l'obligé à m’emmener en cours, et donc d'être en retard pour son travail. Mais ça, maman n'en avait rien à foutre, du moins, elle le faisait penser. Papa lui se foutait un peu de moi, je le voyais bien qu'il n'y en avait que pour mon grand - frère. Il ne voulait pas de moi, pas de fille. Il fallait des hommes, des hommes durs et forts. Je suis une femme, et j'ai ces deux qualités - ci, mais ils les ignorent. Humph, c'est assez embarrassant quand on sait que cet homme qui ne me porte aucun amour, n'est autre que mon père. Il travaille dans une très grosse entreprise, il est patron d'une société. C'est ce qu'il nous avait dit. Oui c'est ça. Quant à mon grand - frère, Elias, lui il était discret avec papa et maman. Il n'aimait pas savoir qu'il était le chouchou de père, il n'aimait pas du tout et ne se gênait pas pour le faire remarquer à papa. Il se faisait frapper, mais il s'en foutait. On aimait bien dormir ensemble, j'adorais qu'Elias me raconte ses journées. Elles étaient passionnantes, et la façon qu'il avait de les racontés, me fascinait tant, qu'il pouvait me raconter la même histoire des centaines de fois, jamais je ne m'en lassais. Maman et papa n'aimaient pas nous voir si proches l'un l'autre, ils nous répétaient sans cesse que c'était mal, vraiment mal. Un jour d'été, je jouais tranquillement dans le jardin avec nos deux chiens, quand un fracas épouvantable vain à me faire venir jusqu'au salon, où je vis mon grand - frère jeter les vases et autres objets au sol, furieux, contre mes parents qui lui hurlaient dessus. Il ne devait pas m'avoir vu. Alors je restais en retrait, toujours discrète, je me glissai derrière la poutre pour observer leurs sujets de discutions. « Comment vous avez pu lui faire ça ?! Elle n'a que six ans ! SIX ANS ! » A ce moment-là, je me disais qu'ils parlaient de moi, mais je ne savais pas encore les raisons de ce soudain intérêt. « C'est pour son bien, Elias, calme toi. Elle ne peut plus rester ici, tu le sais très bien. C'est un... » Maman lui fit signe de se taire, en posant son doigt sur ses lèvres, me fixant. J'avançais doucement, me jetant dans les bras d'Aaron, me cachant par la suite derrière lui. « Elias, il faut nous la donner... Allez... » Je n'avais pas entendu ce que « j'étais » à proprement parler. Je gonflai mes joues et tirai sur le tissu de la chemise bleuâtre de mon grand – frère, lui murmurant en souriant. « Elias, papa me fais peur... Tu me laisseras pas seul dis-moi... ? » Il me sourit et me poussa sur le canapé, et ce fut le moment le plus incroyable de ma vie. Je savais que monstres existaient, nos livres de famille en parlent parfois, pour je ne sais quelle raison. Papa essayait peut - être de dire que j'étais devenue un monstre, moi aussi. Elias m'entoura de ses bras, et se mit à courir à vive allure. J'avais atrocement peur. Qu’allait- il me faire ? Papa et maman coururent derrière nous, mais abandonnèrent la course à peine quelques minutes après avoir commencé à nous courir après, étant déjà bien loin de nous. Il me porta loin d'eux, jusqu'à un champ que je ne connaissais pas. Il me déposa doucement et repris son souffle me serrant une derrière fois dans ses bras. « Jolie Samael, je vais devoir te laisser. Sache que je serais toujours là pour toi, je ne serais jamais bien loin. Ne l'oublie pas, tu es une Cohen ma belle. Une Cohen et tu es capable de grande chose… Je t’aime... Samael. .. » Son sourire disparut en un rien de temps ainsi que le miens. Je compris alors qu'il aller réellement me laissé ici, seule, dans le noir le plus total. « Elias, j'ai peur... Elias... » Il m'embrassa doucement mes lèvres, et courut loin de moi. « ELIAS ! » J'essayai de le rattraper, mais il était bien trop rapide pour moi. Une seule larme coula sur ma joue, une seule. Et se fut la dernière. »
« Vivre seule, sans famille, alors que nous ne somme âgé que de treize ans, c'est vraiment dur. On se demande plusieurs fois par jour, si tout cela n'est pas arrivé par votre faute, si c'est vous qui avez engrangé tout cela. Si en fait, tout ce malheur, cette tristesse, ces pleure ne sont pas causés par votre personne, à cause de vous, de votre existence. Il est toujours difficile d'avouer ses fautes. Mais, quand vous n'y êtes pour rien, comment faite vous ? Vous souffrez en silence, vous pleurez et mourrez seule ? Ce n'est pas vraiment une vie qu'une enfant comme moi, de huit ans devrait avoir. Je mérite peut - être mieux, ou pire, je n'ai jamais rien fait de mal. J'ai toujours été la demoiselle souriante, qui avoué les conneries qu'elle n'avait pas faites pour sauver des personnes qu'elle ne côtoie pas. J'ai toujours été la bonne fille qui avait de bonnes notes pour faire la fierté de ses parents, qui en fait ne l'aimez pas, parce qu'elle était un monstre assoiffé de sang, qui d'un jour à l'autre pourra les tués sans aucun scrupule où remord. C'est vraiment l'enfer, d'être seule. J'ai demandé plusieurs fois à Dieu, à celui qui fait l'espoir de tous, pourquoi cela m'arrive. Si c'était de ma faute. Je demandais pourquoi cela m'arrive à moi, et pas à un autre. Qu'ai – je fais pour être victime d'une telle atrocité ? Mais jamais il ne me répondit. C'est donc à ce moment précis de ma vie, que je compris que je ne pouvais compter que sur moi et personne d'autre. Qui voudrait m'aider, après tout, je suis un monstre, comme ils disent. Et c'est ce que j'ai fait. Le soir où Elias me laissa seule, je marchai très longtemps vers une ville dont le nom m'était inconnu pour y trouver un foyer, ou du moins un endroit où dormir et pouvoir vivre. Je ne trouvai pas vraiment le grand luxe, mais juste une maison où le plaisir était roi. Je fus alors recueilli par un groupe de jeune femme pas franchement intelligente, qui m'envoya directement dans une de ces maisons closes. Ou j'appris alors que ces femmes, n'étaient que des filles de joie. Bien évidemment que j'ai essayé de partir, m'enfuir de cet endroit pas vraiment fait pour une fille de mon âge. Mais j'y étais emprisonné. On me disait à chaque fois. « Mais dis-moi Samael, qui voudrais d'une orpheline comme toi à part nous ? Personne. Pourquoi partir ? Ne manques-tu de rien à nos côtés ? Samael, répond moi. » Et comme une stupide gamine de trize au cœur brisé, je répondais. « Vous avez raison...personne. » Alors je resterais longtemps à leurs côtés. On me força à me donner corps et âmes à des hommes qui se foutaient bien de savoir mon âge. Pour eux, tant que je leurs données du plaisir et du bon temps, ils étaient heureux, et la patronne aussi. Donc, je travaillais. Je n'étais pas seule, plusieurs autres filles d'ici avaient été recueillies très jeune dans ces maisons - là. Celle qui tombe malheureusement enceinte d'un client, se voit obligé de rester quand même ici, et par ailleurs, de plus tard faire travailler leurs progénitures ici. En enfer. Sauf qu'un jour, l'un des clients était particulièrement remonté contre moi. Il était un habitué des lieux, et par cette occasion n'en perdait pas une de nous réprimande s'il n'était pas heureux de nos services. Toutes les femmes ici le craignaient, mari de la patronne, il était vraiment très hargneux envers nous. Au point de nous battre. Comme moi, ce soir. J'avais oublié ma nature, les dires d'Elias, en sept ans j'avais eu largement le temps d'oublier ces paroles d'adieu. Je me souviens de cette nuit, Jack me frappa au visage, il aime frapper au visage. Il frappe toujours au visage, pour que l’on soit marqué, que l’on n’oublie pas ce moment. Il m'insulta, c'était blessant, je n'avais rien fait, pas cette fois ci. Jack était juste énervé, et quelqu'un devait payer, quelqu'un comme moi. Gamine de trize ans qui ne ferait pas de mal à une mouche, comme ils disaient. Mais depuis quelque jour, de violentes douleurs firent leurs apparitions sur tout mon corps, de la tête au pied. Pour je ne sais quelle raison, je devenais aussi très violente, pour rien. Il n'aurait certainement jamais dû me coller au sol et me bloquer pour me déshabiller violemment et tenter de me violer. Je n'aurais très certainement pas riposté si « cette maladie » n'avait pas fait éruption. Des griffes me poussaient, une fourrure apparaissait, et mes os se brisaient pour en former d'autres. La seule chose qui me passait par la tête à ce moment - là ? Me venger, leur faire du mal. Leur faire subir ce qu'eux mon fait durant toutes ces années de prostitution obligée. Comme si je voulais me donner à des hommes d'une trentaine d'années de plus que moi, que je ne connaissais même pas ? Sérieusement, jamais je ne serais comme elle. C'est pour cela qu'au moment où cette maladie pris place dans mon cœur tout entier, n'épargnant aucun recoin, je dis un véritable massacre entre ces murs. Aucun ne ressortie vivant de cette maison, mise à part moi, ni vue ni connue. Comme un rescapé, un survivant témoin de ces atrocités commises par un magarme. Je m'y plusieurs jours à me remettre de ce massacre. Aussi sanglant soit - il, j'avais aimé ce sentiment de force, de domination, les voir pleurer et crié à l'aide. Me plaisait. Me sentir forte, indestructible, il fallait que ça continue, pour toujours. Si seulement vous saviez le nombre de mort que j'ai pu causer. Au début, ces meurtres n'étaient pas prémédités, involontaire. La seule chose que je savais, c’est que je le laisser faire, et que je rester là, amusé, spectatrice de ce fléau ambulant.»
« Treize ans que je ne vis que par mes propres moyens. Que je vis de mes pillages, de mes mensonges et meurtres. Treize ans que je suis seule, à tuer le temps en profitant des gens du mieux que je peux, parce qu'il faut dire que j'ai eu le temps de me spécialiser dans le domaine de la tromperie. A caché ce que je suis, mon passé, ce que j'ai fait et ce que je continue de faire. Personne ne sait qui je suis et je pense très sincèrement que jamais personne ne saura qui est réellement Samael Cohen. Après tout, qui ce soucis de cette gamine orpheline qui causent la mort sur son passage hein ? Peu de gens, malheureusement. Certain me demande encore ce que fait une gamine de mon âge, seule dans cette ville. La seule chose que je répondre c'est un « ferme-la » parce que ça m'énerve de voir que c'est des personnes qui me sont inconnues qui s'inquiètent de moi. Et pas celle que je chérissais, avant. Quand je n'étais qu'une simple enfant heureuse et joyeuse. Hum, ça me détruit de savoir qu'en à peine une journée, tout a basculé et moi avec. C'est peut - être de la faute d'Elias. S'il ne m'avait pas embarqué loin d'eux comme ça, je serais sans doute dans une autre famille comme moi qui m'aurais donné l'amour dont j'aurais besoin. Ou bien dans un hôpital pour folle comme moi, mais au moins, je me serais sentie moins seule avec les autres cas. Moins seule, oui.. La solitude est mon fort. Je n'ai pas pour habitude d'avoir des gens autour de moi qui me pose des questions du style. « Hé Samael, comment tu vas ? Quoi de neuf ? Ça te dirait de sortir en ville ou autre avec moi ? » Vous voyez, le genre de discutions qu'ont des personnes qui s'apprécie. Je ne connais rien de cela. Ça me donnerait presque la larme à l'œil, presque. Mais depuis la nuit où tout a changé, je n'ai jamais plus pleuré. Même un peu, une larme. Rien nada, je reste forte, et je prends sur moi. Pas la peine de faire profiter les autres de mes malheurs et mes peines. Ils ont en quoi à foutre, sérieux. Puis bon, j'ai biens vécus treize ans seule, je peux bien continuer non ? Mouais, en attendant, je reste seule, je me lamente seule, je bois seule, comme une Hermite. Je suis associable, mais ça, tout le monde le sais. On est le six juillet, il fait beau, et pour une fois je sors de chez moi pour aller me changé les idées, la nuit d'hier ayant étais plus que mouvementé. La maladie prend de plus en plus de place en moi, et j'arrive de mieux en mieux à contrôler mes pulsions. Un peu mieux, ça ne veut rien dire quand vous savez que je suis capable, enfin elle est capable, de détruire tout sur son passage. Moi je ne brise pas des cœurs, mais des os, des corps. Malheureusement il arrive que quelquefois, je n'arrive vraiment pas à contrôler la chose, et qu'elle fasse ce que bon lui semble. C'est plutôt dévastateur comme maladie. Ça fait mal. Donc je disais qu'on était le six juillet et que le soleil tapé particulièrement fort sur tout le pays. Alors que je marchais tranquillement vers je ne sais trop ou, un jeune homme vain à m'accoster. « Eh, salut, excuse – moi mais.. hum.. » Je n’aime pas qu'on baigaille, c'est un signe de faiblesse. « Quoi .. ? » Faut mettre les choses au clair. Si vous rentré dans son jeu, il vous embarqua on ne sait trop ou, et c'est pas vraiment cool. « Ben, tu es jolie, il est tard même si le soleil est encore présent, et.. tu es seule, alors je me demandais.. » Vous voyais, il essaye de vous embrouillez. « Abrège, je n’ai pas tout la nuit. » Hum, n’à en juger par le regard vide de ce jeune homme, c'est pas de la drague qu'il cherche. Non, pas vraiment, puis son arme, son canif n'étant pas du tout caché, il est très vite repéré sur ses hanches. « Allez genre, fais pas semblant que tu n’as pas compris, gamine. Tu sais très bien ce que je cherche, et dément pas en disant que ça t'intéresse pas.. » Je vous l’ai dit, sa cherche à se faire plaire, han le beau garçon tout timide qui arrive pas a parlé correctement parce qu'il est gêné ! Ça ne marche pas avec moi, et certainement pas avec lui. « Les maisons closes, c'est la rue à côté. » Il me sourit, que c'est chou. Br, non pas tant que ça, en fait..« La demoiselle à quelque chose à redire ? -il avança plus près de moi, jusqu'à dégainé son arme et me la posté sous le menton, ricanant comme une psychopathe en manque d'amour- Tu vas gentiment te laissé faire, et tout ira bien pour toi ma belle.. » Sans doute ne savait- il pas qui j'étais, après tout, personne sais qui je suis. Il est pardonnable.. Ou pas. Je le poussa donc violemment en arrière, malgré le fait qu'il met très légèrement entaillé le cou, je n'avais rien. « La belle, elle risque de s'énerve. Si le jeune arbre en fleur ne se taille pas vite d'ici. Dépêche, si tu tiens à vouloir garder ce qui fais que tu es viril, mec. » C'est marrant le rire qu'il a, on dirait un mec qui suffoque et qui est sur le point, de mourir étouffer. C'est marrant. Il se leva lentement pour marcher devant moi et me planté en vitesse son couteau dans le ventre. Ça pique un peut, au début. « Tu n'aurais pas dû faire ça, gamine. » A vrai dire, lui non plus. Il causera sa propre perte. Je ne voulais pas, vraiment pas. Je n'avais pas envie quelle sorte, elle en avait déjà assez fait. Mais la colère et la douleur ça fait souvent mauvais mélange et malgré le fait que je puisse la contrôler, je n'arrive toujours pas totalement a contrôlé mes sentiments, qu'ils soient bons ou mal. « Oh non.. Crois-moi. J'espère juste pour toi, que tu es bon coureur. » Il ne devait pas comprendre ce que je disais, avant de laisser aller et de le faire s'évanouir. Quoique, il m'arranger la tâche, je n'avais plus qu'à me servir, il ne sentait rien, il était légèrement mort. Un coup de patte d'un magarme sur votre nuque et vous pouvez dire adieu à la vie. C'est lourd, un loup, c'est lourd. Maintenant, c'est moi qui joue. »
“ Je suis particulier... N'est-ce pas ? „ Les petites choses qui nous rendent différents !
• Samael elle est associable, et le cache pas en vous criant de dégagez loin d’elle sous prétexte que vous polluez son air. Ou même que vous polluez son espace vital. Samael elle adore les chiens, c’est son animal favori et adore joué avec eux. Cependant elle haïe les chats, beurk. Horrible. Elle a elle-même peur de sa race, de ce qu’elle est, et déteste ce servir de ce dernier, sauf en dernier recourt. Elle se qualifie elle-même de monstre et n’hésite pas à ce critiqué elle-même. Je vous laisse en déduire que Samael n’est certainement pas narcissique. Elle déteste les personnes narcissiques. Ca l’horripile.
• Samael c’est un très vilain loup qui hésite pas à mordre le premier qui l’approche de trop, ose la touché, ou bien-même lui parlé. Elle a une peur horrible des hommes. Depuis sa vie dans les maisons closes, elle a peur des hommes. Au point de baisser les yeux devant certains, de trembler, paniqué etc... Pour ça qu’elle essaye d’en côtoyer le moins possible. Sinon, elle est sois trop gamine avec eux, sois trop violente. Ca dépend.
• Samael déteste plus que tout au monde les humains. Aussi, pour leur faire peur, elle se transforme de temps à autre en un énorme Magarme. (Même quand elle ne veut pas leur faire peur en fait.)
“ Qui est derrière l'écran ? „ Montrez-vous, on ne mord pas, enfin pas tous. | • PRÉNOM / PSEUDO : TIMMY. • ÂGE : 15 ans. • VOTRE AVATAR : ChromeSexyDokuro de KHR. • COMMENT AVEZ VOUS CONNU TOS ? : Partenariat o/ • CODE DU RÉGLEMENT : Je suis pas si, cruche ! ♥ Validey ~ • SUGGESTIONS ? : Eh, nan ? :3 ♥
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Dernière édition par Samael Cohen le Mar 31 Mai - 19:53, édité 5 fois |
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